Hopital du Crepusculaire
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 Elysabeth Juvrenson, chef des Calypsistes

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Elysabeth Juvrenson
Patient / Chef des Calypsistes
Elysabeth Juvrenson


Nombre de messages : 10
Age du personnage : 19
Date d'inscription : 12/01/2007

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MessageSujet: Elysabeth Juvrenson, chef des Calypsistes   Elysabeth Juvrenson, chef des Calypsistes Icon_minitimeVen 12 Jan - 0:37


Nom : Juvrenson
Prénom : Elysabeth
Surnom : Lysie
Age : 19 ans
Origines : Franco-anglais
Orientation sexuelle Bisexuel

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Apparence physique : Lysie fait partie de ce genre de personne, au physique bien proportionné et correctement dessiné, mais qui n’a rien d’exceptionnel. Pas de couleur de cheveux atypiques, aucun marquage, rien. Il est, on peut le dire, banal. Il faut dire que le garçon n’a cure de son physique. Encore plus depuis qu’il séjourne dans ce cauchemar : son apparence est le dernier de ses soucis.
Mais bon, puisqu’il faut faire une description du monsieur. Il possède une chevelure d’un blond doré, qui retombe en une coupe assez assymétrique. Il faut dire qu pas allé chez le coiffeur depuis 5 mois et se coupe les cheveux lui-même. Les mèches les plus longues s’aventurent sur son menton, les plus courtes sur ses sourcils. Il a les yeux bleu-gris, tendant plus vers le bleu lorsqu’il s’expose à la clareté du soleil, plus vers le gris s’il se terre dans la pénombre de la cave par exemple. Lysie est quelqu‘un de très expressif et son visage indique toujours ce qu’il pense. Ses yeux à eux tous seuls brillent alternativement d’une lueur vive ou mélancolique. Il a le sourire extrêmement facile, mais il est facile de différencier lorsqu’il le force et lorsqu’il est sincère.
Il est relativement grand sans entrer dans la catégorie des géants -on lui donne 1m84- et reste plutôt mince sans être maigre pour autant. Disons qu’il est bien portant mais qu’aucune graisse superflue ne vient entraver sa silhouette élancée.

Style vestimentaire : Lysie donne généralement dans le binaire à savoir : blanc noir, noir blanc. Pour ce qui est des vêtements, comme tous les jeunes de son age il s’agit de baggy, de jeans, de sweater de pull, de t-shirt, bref, rien de bien exceptionnel. Il affectionne particulièrement son chandail àcol montant noir et son surpul blanc et orange qui ne le quitte presque jamais

Signe particulier : Il a deux piercings au lobe droit, 2 au lobe gauche et 1 au cartillage de l’oreille gauche toujours. On le voit souvent avec des écouteurs sur les oreilles car c’est un grand féru de musique. Il porte toujours un ruban rouge noué d’une demie-boucle à son poignet gauche.

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Caractère : S‘il y a bien quelque un qui a bon caractère, c‘est Lysie. Serviable, aimable et gentil, il est très sociable et noue rapidement des amitiés à gauche à droite. Et ses vrais amis peuvent compter sur lui, il ferait à peu près n’importe quoi pour eux. En fait, il est pour ainsi dire une bonne poire car avec sa flagrante naïveté il n’est pas rare que les gens abusent de sa bonté.
Mais bon, en général, on lui est tout de même reconnaissant des effort qu’il fournit. Courageux, volontaire et têtu, il est dur de le détourner de ses idéaux et lorsqu’il a une idée en tête, si foirreuse soit-elle, il la poursuit toujours jusqu’au bout, de telle sorte qu’il s’attire bien souvent des ennuis…
Il est plutôt simple et sait rester calme et réfléchi dans la plupart des situations, c’est pourquoi il fait un bon chef pour les Calypsistes.
Néanmoins, sa fidélité en amitié n’a d’égale que son acharnement lorsqu’il hait quelque un. Ultrasensible, si l’on fait du mal à ses amis ou à lui-même, il sera dur de regagner sa confiance, car il est tout aussi rancunier qu’il n’est naïf. Il se laisse avoir une fois, mais pas deux.
En somme, c’est un garçon sur lequel on peut compter, mais si vous lui faites un coup dans le dos, il y a fort à parier que vous aurez de sérieux ennuis avec lui. Si calme puisse-t-il être, ses colères sont généralement dévastatrices. Méfiez vous de l’eau qui dort, comme le dit le proverbe.

Sinon il faut savoir qu’il est toujours à l’écoute des gens, et qu’il est un petit peu le grand frère de tous les Calypsistes sur qui il aime veiller.
Si négligé et bordélique soit-il avec ses affaires et lui-même, il est on ne peut plus ordonné et méticuleux dés qu’il s’agit des affaires de Calypso.
Il est très possessif et protecteur tant envers ses amis que ses affaires. Calypso, c’est son bébé, y toucher, c’est le toucher, et généralement, la riposte fait bobo…

Aime : énormément sa petite sœur, la musique, qu’on le respecte, faire plaisir et aider ses amis, rendre service, s’investir dans 36 000 projets, lire et écrire, nager, la nuit, la guitare, parler
Aime pas : l’intolérance, l’injustice, la violence, qu’on se serve de lui, la trahison (mouahaha Lena u___u), qu’on lui mente, qu’on touche à ses amis, le silence, les médicaments
Talents : Jouer de la guitare, s’attirer des ennuis, écrire

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Famille : Son père Andrew, sa mère Joanne, et sa petite sœur Maëlle
Amis : Il en a beaucoup en dehors de l’hôpital (étant très sociable), à l’hôpital il eut notamment Megan et Calypso, il s’entend bien avec Lena et avec pas mal de monde puisqu’il est le chef des Calypsistes
Amours : Il avait une copine du nom d’Elody avant d’entrer à l’hôpital

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Raison de sa venue ici Bête entorse
Depuis combien de temps est-il ici : 5 mois
Sa position par rapport à la situation: Contre, formellement contre, puisqu’il est le chef et fondateur des Calypsistes

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Histoire :
L’histoire de notre cher Lysie commence par la rencontre en Angleterre d’une jeune française, Anne-Marie, et d’un anglais, Jeremy. Commença alors toute la machine infernale : drague, premiers rendez-vous, emménagement, et pour finir, la grossesse de Namia. 9 mois plus tard, Elyzabeth venait au monde. Non, Elyzabeth n’est pas une fille, c’est un garçon. Ce prénom féminin c’est les extravagances de sa maman. Extravagance qui lui couteront…
Durant leur sa jeune enfance, Lysie fut on ne peut mieux chéri. Il avait un excellent caractère, se montrait boéissat à souhait…
Physiquement parlant, il ressemblait beaucoup à son père. Il était plutôt mignon pour un petit garçon de son age. Ce n’est d’ailleurs pas son apparence, mais son prénom qui lui valut les moqueries de ses camarades. Un enfant de 4 ans, c’est bête.
Lysie était le genre de petit garçon solitaire. Celui qui passe sa récréation dans les toilettes et qui rentre en pleurant chez lui tous les soirs.
En plus de tout cela, Lysie était un enfant peu sportif. Il se fatiguait rapidement lorsqu’il fallait courrir.
Lorsque Elyzabeth atteignit sa 7eme année, une nouvelle venue arriva dans la famille. Elle s’appelait Maëlle et c’était la petite sœur de Lysie. Il l’adorait, et passait son temps avec sa mère pour l’aider à s’occuper de bébé.
A partir de ce jour, dés qu’un enfant se moquait de lui, Lysie pensait à sa petite soeur. Elle lui donnait du courage, par quelque raison mystérieuse que ce soit. C’était sa petite protégée et ça lui donnait la force d’affronter ces enfants débiles.

Lysie continua à grandir, à son rythme. Sa relation avec Maelle évolua au meilleur. Ils éprouvaient beaucoup de tendresse l’un pour l’autre, particulièrement Lyly à l’égard de sa soeur. Mais Lysie était devenu un petit garçon distant. Il semblait un peu étrange, intelligent, mais complètement décalé.

Un nouvel évènement vint marquer la petite famille lorsque Lysie atteignit ses 12 ans, Maelle ses 4. Elle subit un fort traumatisme psychologique, en assistant, lorsqu’elle était chez un ami, au viol de celui-ci par son père. Elle faillit lui-même y passer, mais fort heureusement la mère de famille rentra à temps pour découvrir son mari hystérique s’acharnant sur son fils dénudé.
On invita vivement la mère de Maelle à la faire consulter un psychologue. Mais le choc semblait dépasser les compétence de ce dernier, et c’est finalement chez un psychiatre que l’enfant dû allé.
Elle ne parlait plus, ne se laissait plus toucher, à part par son frère. Le psychiatre expliqua aux parents qu’elle était traumatisée par le contact avec les adultes et qu’instaurer une confiance entre la petite et eux serait une tache longue, ardue, peut être même impossible…

La vie continua bon train. Lysie prenait grand soin à s’occuper de sa soeur. Il y passait d’ailleurs son temps. Le reste importait peu.
Mais comme la balance tend toujours vers un équilibre, il fallut bien que quelque chose arriva à Lysie pour équilibrer avec les malheurs endurés par Maelle.
Alors qu’il rentrait habituellement des cours, il se fit épinglé par 3 brutes de sa classe avec qui il avait des problèmes depuis quelques semaines déjà.
Il faisait nuit, et la rue était vide. Acculé aux murs, il écouta, silencieusement ce que les 3 garçons avaient à lui dire. Ceux-ci le traînèrent jusqu’à une rue marchande, devint une bijouterie. Puis le chef des trois lui indiqua ce qu’ils attendaient de lui : qu’il se faufile par la fenêtre sur le côté et qu’il leur ouvre la porte.
Devant le refus catégorique du jeune homme, la brute vit rouge, et, pris d’un instinct animal, il l’attrapa par le col du t-shirt et l’envoya valser à travers la vitrine du magasin. Eclat de verre, cris, alarme, police, ambulance.
Elyzabeth perdit connaissance…

Le lendemain, il se réveilla à l’hôpital.
Le visage entouré de bandelettes : des égratignures de partout…

Le lendemain, alors qu’il méditait silencieusement sur la fatalité, il entendit la porte s’ouvrir. Supposant que c’était une infirmière, il ne réagit pas. Ce n’est qu’en entendent les pas qu’il sut que ça n’en était pas une. A force, il savait les reconnaître. C’était un pas rapide et saccadé. Là, il s’agissait d’une démarche lente, presque trainante.

« Lyly? »

Demanda une voix que le garçon reconnut presque tout de suite.

« Maelle! »

S’écria-t-il, sa voix trahissant la joie de retrouver sa soeur.
Il la sentit s’asseoir au bord de son lit.

« Ton visage… »

Marmonna-t-elle d’une voix perturbée. Lysie eut un sourire triste et hocha la tête.

« Oui, ils m‘ont bien amoché… »

Expliqua-t-il. Cette annonce fut suivi d’un long blanc, qui fut finalement rompu par Maelle elle-même.

« Je peux peut être t’aider »

Réaction de Lysie : il éclata gentiment de rire avant de secouer la tête.

« Ne dis pas n’importe quoi s’il te plait
- Je peux t’aider »

Répéta la fillette. Doucement, elle s’empara de ses longs doigts de la main de son frère. Lentement, elle la guida alors, la posant tout d’abord sur ses lèvres, pour que June sente qu’elle souriait, qu’elle était contente de son idée. Elle la fit alors glisser jusqu’à sa joue, avant de dire.

« Prend donc ma peau, la mienne est lisse. Arrache la. Si je te la donne, tu retrouveras ton beau visage »

Horrifié par ce que venait de dire sa soeur, Lysie retira vivement sa main en sursautant.

« Arrête de dire n’importe quoi Maelle, s’il te plait! »

Aucune réponse.

« Maelle ? »

Toujours rien.

« Maelle répond ! »

Ordonna-t-il en palpant le vide devant lui.

« Maelle S’IL TE PLAIT dis quelque chose! »

Implora-t-il de plus en plus panniqué.

« BORDEL Maelle! »

Sa seule réponse fut un gémissement, suivi rapidement du bruit de la porte qui s’ouvrait sur une infimière. Le cri horrifié que celle-ci poussa laissa tout le loisir à Lysie d’imagine ce qu’avait fait sa soeur

« Maelle! Ma! Répond putain! Que se passe-t-il »

La suite des évènements resta trouble. Malgré les cris déchirants de l’infirmière, les supplications de Lyly entendit juste plusieurs autres personnes arriver au pas de cours en poussant des jurons, puis le calme plat.

Une semaine plus tard on libéra Elyzabeth.

Arrivé à la maison, la première chose qu’il vit fut sa petite sœur, un pansement énorme collé sur la joue lui laissant imaginer ce qu’elle avait put faire…
C’est là qu’il comprit le danger de l’amour qu’avait Maelle pour lui. Il ne fallait pas qu’elle s’attache trop à lui..

C’est à compter de ce jour que le jeune homme commença donc à mettre des distances avec sa sœur. Bien qu’il s’occupât toujours d’elle, il commença à sortir. Il n’était pas garçon à être populaire, mais sa gentillesse l’aidait à rencontrer du monde. Rapidement, il se fit un cercle d’amis.
De fil en aiguille, prenant confiance en lui, il devint même un genre de « star » au sein de son lycée. « Vip personne », l’une des personnes avec qui il faut traîner.

Parmis les gens avec qui il traînait le plus se trouvait Elody. C’était une jeune fille au physique agréable et au caractère sympathique. Populaire, elle aussi, naturellement. C’est d’ailleurs grâce à elle que Lyzie s’était forgé une « réputation ».
Il était la seule fille à qui il ne cachait rien. Elle était également la seule à connaître l’existence de Maelle. Aux autres, il la cachait. Il n’avait pas besoin d’une petite sœur tarée dans sa vie de garçon renommé.
A force de partage de secrets , de bons souvenirs, Elody et Lysie se rapprochèrent, jusqu’au jour où le jeune homme lui avoua son amour pour elle. Son stade passa alors de meilleure amie à petite amie.
Mais il ne put profiter de cette relation qu’un petit mois.

Un mois après, alors que Lysie faisait l’idiot pour amuser un copain, paf, il trébuche. On le relève, il retombe. On appelle une ambulance. Bête scénario : entorse, on le charge dans l’ambulance et hop direction l’hôpital du Crépusculaire. On règle la paperasse et on l’installe dans une chambre. Jusque là, tout est normal.
Un premier médecin vient lui rendre visite pour des radios.
Il se passe une bonne semaine avant que Lysie ne réalise qu’ici, tout ne tourne pas rond.
La semaine passée, il est enfin en mesure de se déplacer dans l’hôpital. Premier repas au réfectoire. Il s’assoit en face d’un garçon qui semble à peu près avoir son age. Il apprend rapidement son prénom : Calypso. Et le garçon à ses côté n’est autre que son frère, Megan. Avec un air grave, Calypso lui explique alors la situation. Tout. Absolument tout. Lysie déchante, puis panique. Il veut appeler sa mère, revoir sa sœur, Melody… Mais rien de tout ceci n’est possible…

Petit à petit, une amitié se tisse. Calypso devient même son meilleur ami.
Mais rapidement, tout tourne au cauchemar. Voilà 1 mois que Lysie est ici..
Un drame survient, Megan, le frère de Caly, est tué par l’un des deux frères tarés : Esteban.Calypso, enragé, pète les plombs, et vient régler ses comptes avec le nommé Esteban. Pas de chance pour lui, lui aussi finira dans la chambre froide, avec son frère.

Loin d’avoir la même réaction immature que Caly, Lysie ne reste pas sans agir pour autant. Il a une toute autre idée. Une idée qui lui prendra peut être des mois, mais qui vaut le coup d’être tenté.
Il décide de créer un clan. Un clan secret. Mieux qu’un plan. Un mouvement. Un mouvement de rebellion pour renverser ses deux tarés et s’échapper d’ici. Il l’appelle le mouvement Calypso en l’honneur de son meilleur ami. Et à partir de ce jour, il est le chef des Calypsistes. Rapidement, Lysie arrive à s’entourer de plusieurs personnes de confiance. Le clan s’agrandit de plus en plus, les projets de multiplient, les espions surveillent le fake personnel. Tout semble rouler pour le mieux.
Et voilà qu’une rumeur circule qu’il y aurait des taupes de Esteban et Seraph infiltrés chez les Calypsistes….
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Seraph Darc
Grand Manitou Cinglé / Protégé de Pomme
Seraph Darc


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Date d'inscription : 11/01/2007

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MessageSujet: Re: Elysabeth Juvrenson, chef des Calypsistes   Elysabeth Juvrenson, chef des Calypsistes Icon_minitimeSam 13 Jan - 0:41

Validééé Elysabeth Juvrenson, chef des Calypsistes 414

*Oui, je sais, on s'y attendait pas Elysabeth Juvrenson, chef des Calypsistes 417 *

Edit de Esteban : YMCAAAAAAA (pourquoi ej n'arrive pas à être une admin sérieuse Elysabeth Juvrenson, chef des Calypsistes Snyhyhyf POUQWA ?)
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