Hopital du Crepusculaire
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Hopital du Crepusculaire

L'Hopital du Crepusculaire... Vous y vivrez peut-être votre dernier coucher de soleil...
 
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 June Vynemus

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June Vynemus
Patient / Calypsiste
June Vynemus


Nombre de messages : 8
Age du personnage : 20
Date d'inscription : 19/01/2007

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MessageSujet: June Vynemus   June Vynemus Icon_minitimeSam 20 Jan - 2:35

Nom : Vynemus
Prénom : June (prononcé June par les francophone, Djoune par les anglophones, Joune généralement par les autres)
Origine : Franco-ecossais
Sexe : Homme
Sexualité : Homosexuel, il déteste les femmes
Age : 18 même si à vue d’œil on lui donnerait moins et ce en raison de son comportement parfois très immature


Physique


Cheveux : June tient de sa mère sa jolie chevelure noire, fine, souple, et brillante, qui lui retombe sur les fesses. Elle reste généralement lâche et il ne prend que trop rarement le temps de l’entretenir. Il se réveille les cheveux en bataille, emmêlés, et se recouche de la même manière sans même se soucier des intempéries qu’a pu subir sa chevelure.
Mais s’il ne se soucie que peu de l’allure de ses mèches, il y porte tout de même beaucoup d’importance, et il prend à chaque shampoing le temps d‘y appliquer mille et une lotions pour que ceux-ci restent vifs, souples, brillants et soyeux. C’est que voyez vous, son apparence, il la travaille. Son mot d’ordre : être élégant, tout en restant naturel. Son charme sauvage, c’est ce que vantaient chez lui ses amants..

Yeux : Ses yeux, qu’il tient de son père cette fois-ci, sont gris-perle, plutôt fins, en amande. Cette couleur, quoique étrange est purement naturelle, June ne touche pas à ses yeux, il se contente généralement de les souligner d’un trait épais de khôl

Taille : Grand, June ne l‘est pas tant que ça, sans être petit pour autant. Comme il ne se mesure (ni ne se pèse d’ailleurs) jamais, il est dur de déterminer exactement sa taille, mais on l’a dit aux environs d‘1m80. C’est en vérité son extrême finesse, ses membres élancés, ses gestes légers, qui donne cette impression de grandeur. Ce n’est en aucun cas sa grande stature qui fait qu’en dépit de son comportement parfois décalé, voir ridicule, il arrive tout de même à imposer le respect. Non, c’est son attitude toute entière…
Pour le poids, de même, impossible de le dire, l’important étant, selon June, qu’il se sente à l’aise dans son corps. Or, ayant peu, voir aucune, graisses superflues, il juge qu’un régime n’est pas de mise.

Autre : June a la peau extrêmement pâle à la base, il tient ça de ses origines écossaises, mais il arrive qu’il se blanchisse encore un peu le visage quand ça lui chante. Si bien que beaucoup de gens le croient donc gravement malade, voir mourrant, alors qu’il est au mieux de sa forme. Il faut dire que sa peau fine (presque diaphane) et sa maigreur n’arrange en rien son allure maladive.
Du reste, il déteste le maquillage et refuse de peinturlurer son visage -d‘après lui si magnifique. A part cela, il a l‘oreille droite deux fois percée de deux petits anneaux argentés, et un piercing à la langue (une petite boule argentée elle aussi)

Vêtements : pour ce qui est des vêtements, cela dépend de son humeur. Généralement, on a soit droit à des tenues noires, noires, et noires encore et ce, pas forcément lorsqu’il est de mauvaise humeur d’ailleurs. Sinon, il donne dans le blanc, le gris et le rouge, parfois le bleus métalliques, évitant les autres couleurs trop vives. Dans tous les cas, il ne mélange JAMAIS couleur et noir il trouve que c’est le summum du mauvais gout. Pour ce qui est des habits en eux même, c’est très variable : ce peut aller du simple haut en coton avec pantalon en lin au, lorsqu’il est d’humeur extravagante, vêtements en cuire, voir latex, parfois velours ou satin… Encore une fois, c’est très variable.

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Caractère :
La rencontre de la fraîcheur et l’inconstance de l’adolescence et d’une certaine maturité adulte, voilà ce qui caractérise le mieux June.
Affreusement inconstant, il n’est en aucun cas à la recherche de stabilité, dans quelques domaines que ce soit.
Sa vie de débauche il n’en a absolument pas honte. En fait, il en est même fier.
Ca n’est tout de même pas sa faute s’il refuse une vie paisible et ennuyeuse, s’il est un assoiffé de renouveau et d’aventure. Il a besoin d’une vie qui bouge. S’il avait l’argent, il voyagerait, partirait loin. Il ne l’a pas, alors il voyage à sa façon. En rencontrant plein de gens tous plus différents les uns que les autres. Des gens auxquels il ne s’attache pas. Il prend un peu de bon temps, il passe des moments sympathiques avec eux et puis hop, il recommence ailleurs. Voilà à quoi se résume sa vie, et elle lui plait. Pour l’instant. Jusqu’au jour où il se lassera, et où il ira voir ailleurs. Car oui, June se lasse très vite. La routine, ça n’est pas pour lui, il lui faut quelque chose de vivant. Et si June se lasse des gens, l’inverse est rarement vrai. Tout d’abord parce que June ne leur en laisse pas le temps puisqu’il se débarrasse d’eux généralement bien avant qu’ils n’aient le temps de s’ennuyer, mais aussi car il est très lunatique et versatile. Un rien peu le faire passer de la bonne humeur à une colère noire même s’il a appris avec le temps à se contrôler
Excellent menteur, certains le croient mythomane, mais il n’en est rien. Contrairement à ces derniers, June fait toujours la différence entre son mensonge et sa réalité. S’il peut se faire passer pour un amoureux fou, il ne le deviendra pas pour autant. Ce sont ses talents de comédien qui lui permettent de jongler ainsi entre plusieurs réalités, si bien qu’on pourrait presque croire que June est schizophrène. Mais ce n’est pas le cas puisqu’il contrôle parfaitement ces changements.

Il est très difficile de réellement poser des mots sur le comportement de June. Il est élégant sans réellement l’être. Il ne se tient pas droit, n’a aucune manière, et pourtant tous ses gestes sont calculés. Il possède la grâce sauvage du félin dans ses mouvements, et les expressions de son visage sont généralement vives et calmes à la fois (sisi c’est possible). En fait, c’est un bien étrange énergumène, qui attire souvent le regard des gens pour sa façon d’être si particulière.
Disons qu’il ferait tout aussi tâche à une élégante réception qu’entourés d’un troupeau d’adolescents fêtards. Où est sa place alors ? Sur sa petite planète…
Car il est avant tout un grand rêveur. Il aime à s’imaginer diverses folles aventures, de grands voyages au bout du monde, des rencontres extraordinaire. Attention : rêveur, oui, mais fleur bleue en aucune sorte. Ce serait mentir que de croire que comme tout bons dragueurs inconstants qui se doit, il ne rêve en vérité que de trouver le grand amour pour enfin se poser.
Le grand amour, June ne le cherche aucunement, il préfère une vie de bohême, d’imprévus, de surprises.
Le jour où la routine s’installe chez lui, C’est June qui déménage.
En vérité, une part de l’écossais n’a pas grandi, est resté enfant. Ce besoin de nouveau et de découvertes que l’enfant assouvi au travers de son éducation, en passant d’écoles en écoles, et dé découvertes en découvertes, June lui le recherche à travers d’autres choses comme l’art et les rencontres.
Il est donc ce qu’on appelle un adulescent, un jeune homme coincé entre deux époques.
Depuis qu’il s’est brouillé avec sa famille, il n’a plus aucune attache, et c’est ce traumatisme qui le pousse à toujours fuir la création de liens avec quelques personnes que ce soit. Généralement, dés qu’il sent les sentiment ou un attachement pointer son nez, sa réaction est la fuite immédiate. Et malgré son caractère bien particulier il n’est pas rare que des gens s’attachent à lui, car il garde un petit quelque chose d’attachant. Et puis, avouons le, la plupart des gens ignorent quelle genre de personne June se trouve être. A le voir, on penserait plutôt à un jeune homme fragile à qui il faudrait deux bras pour le protéger. Et ils ne découvre sa vraie nature généralement que trop tard
La meilleure défense du jeune écossais reste la solitude, car comme la vie le lui a appris, on ne peut compter que sur soi-même…et encore.

Loisirs / ce qu’il aime : l’art avant tout. Et ce sous toutes les formes possibles et imaginales : arts plastiques, la musique, la littérature ou encore meme la mise en scène. Il s’intéresse d’ailleurs beaucoup à l’histoire de l’art. En fait, June a une culture relativement étendue pour quelqu‘un dont l‘éducation reste très partielle, et il déteste les gens qui n’en ont pas, et avec lesquels il ne peut débattre un minimum. Il pratique lui-même plusieurs activités dans le domaine artistique. Il a fait du théâtre, du chant, écrit parfois des poèmes ou encore des textes philosophiques, dessine et peint beaucoup. Côté musique, il sait jouer, entre autre, du piano, du violon, de la harpe, de la guitare et du hautbois. Certains le qualifient de génie, en raison de ses facilités à l’apprentissage de la musique, mais il n’en est rien. Tout cela n’est que le fruit d’une trop grand passion pour le domaine artistique et de longues heures de travail qui furent en partie ôté de ses heures de sommeil et de son travail scolaire -du temps où travail scolaire il y avait.
Sinon il a un certain gout pour la mode. En fait, ça le passionne. Il passe son temps à essayer de s’ellaborer des tenues plus extravagantes les unes que les autres. Il adore faire du shopping, mais ce qu’il aime encore plus, c’est ensuite recustomiser ses achats. Habile de ses mains, il est plutôt doué en couture ce qui l‘aide dans sa tache.
Il trouve également follement amusant le fait d’attirer l’œil, voir de choquer, et il se sert justement de la mode pour cela.
Sinon, il aime beaucoup parler mais il choisit avec exigences ses interlocuteurs. Les gens qui parlent pour ne rien dire et qui n’ont aucun savoir sont d’hors et déjà bannis. Et lorsque par malheur il tombe sur ce genre de personnes, il endosse son masque d’acteur pour emprunter une toute autre personnalité plus appropriée en question
Il bannit également de ses fréquentation les gens naïfs et trop gentils. L’inconscience et la crédulité l’insupportent, car il les trouve condamnables.
Il aime tout ce qui touche à l’originalité dans tous les domaines, et quelqu’un qui sort de l’ordinnaire marquera forcément des bons points chez lui. A l’inverse, il a horreur de la mode moutonesque et ne daignera en principe pas accorder le moindre mot ou regard à toute personne clone.
Il déteste la nourriture, il trouve cela superflu et inutile, et ne se nourrit que parce que ses méninges et son corps en ont besoin. Il ne prendra d’ailleurs aucun plaisir à déguster un met raffiné ou un vin de grand crue -à l’exception des vins blancs en fait.
D’ailleurs généralement parlant, il n’est pas un fondu d’alcool. S’il boit, c’est pour accompagner ses conquêtes mais il essaie généralement de se modérer car il tient très mal l’alcool et un June bourré est un spectacle assez catastrophique. Quant aux tabacs, il a son odeur en horreur.
Il a également un sacré problème avec les filles, pour ne pas dire qu’il les déteste. Il ne toléra qu’une seule présence féminine dans sa vie, qu’était celle de sa meilleure amie. Sinon, il trouve les filles inintéressantes, faibles, calculatrices, sournoises, trop bavardes et superficielles… Alors personne du sexe féminin, prenez vos gardes avant d’aller à la rencontre d’un June.

Talents : Euh le sex...ophone, il joue du saxo June Vynemus Guaff

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Famille : Des gens sans intérets aucun
Amis : Peu, il est trop instable pour cela
Amours : Kezako ?

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Raison de sa venue ici Apendicite
Depuis combien de temps est-il ici : 3 semaine
Sa position par rapport à la situation: Contre, puisqu'il est calypsiste, mais qui serait pour -__- ?


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Dernière édition par le Sam 20 Jan - 3:12, édité 1 fois
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June Vynemus
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MessageSujet: Re: June Vynemus   June Vynemus Icon_minitimeSam 20 Jan - 3:06

histoire

Un 2 juillet. Une matinée ensoleillée, une légère brise, un ciel bleu qu’aucun nuage ne vient troubler. Que rêver de mieux pour la venue au monde d’un petit bout d’homme ? Rien, absolument rien en cette merveilleuse journée ne pouvait prédire au jeune homme une évolution si déplorable…
C’est dans en cette fin de matinée, 11h49, que vint au monde June. C’était un petit garçon charmant, bien proportionné. Juste après qu’il ait poussé son premier cri, son père l’éleva dans les airs, le visage rayonnant de bonheur.

Des biberons, des couches sales, des cris, des nuits blanches, des jeux, des sourires, des baisers, des rires, des pleurs aussi….
Un enfant pâle, des cheveux trop sombres, des moqueries, des bagarres, de pleurs encore.
Des parent trop occupés par leur travail, des nourrices à n’en plus finir. Et encore des pleurs.
Des mauvais résultats, une institutrice inquiète, des convocations de parents sans réponse, et des larmes, pour changer.

Arrivé à l’age de 8 ans, il semblait difficilement concevable que June ait encore suffisamment d’eau dans son corps pour pleurer. Et effectivement, 8 ans, c’est l’age que choisit Jeyson pour s’immiscer dans la vie de June…
Jeyson a 10 ans, il est le contraire même de June. Il est grand, blond, courageux, tête dur, insolent, irrespectueux. Pourtant, lui et le petit garçon pleurnichard on bel et bien un point commun : ils vivent isolés de la société. L’un par choix, l’autre par obligation.
Voilà 2 ans que à chaque récréation, le grand Jeyson, tapis dans un coin des WC, clope au bec -à 10 ans, oui- observe un petit garçon débouler en larme.
On pourrait penser que leur premier contact serait une espèce de complicité, peut être un élan de compassion de la part de Jeyson, mais non.
Une récréation comme les autres, un petit garçon qui déboule en pleur et se heurte au grand corps d’un autre garçon. Avant qu’il ne puisse réagir, un poing qui s’abbat sur son nez, accompagné d’un « connard ».
Image suivante : le carrelage qui se tâche peu à peu d’un liquide carmin. June ouvre grand les yeux et crit à la vue de son sang. Jeyson est toujours derrière lui, immobile.
La suite reste floue dans la mémoire de June…

Lendemain. Même heure, récréation, ce n’est pas en larme que June entre dans les WC, mais dans une colère noire. Son regard survole la pièce et s’arrête sur lui : le grand garçon blond.
Il s’approche, se hisse sur la pointe de ses petits pieds, et vlan, un coup de poing dans le nez du grand blond. L’autre lui sourit, lui tend la main, se présente. C’est le début d’une toute nouvelle amitié…

Dés ce jour, le comportement de June évolue jusqu’à tendre vers ce qu’il est aujourd’hui. Ses parents, toujours aussi occupés, ne remarquent rien. Il faut dire qu’à la maison, aucun changement notable, si ce n’est que, tout comme ses parents, il n’est plus à la maison.
June grandit, fait son adolescence de manière précoce. Sa première amitié se transforme en premier, amour si l’on peut appeler cela de l’amour bien sur…

Les deux garçons continuent à grandir sans que rien n’évoluent. Jusqu’à ce jour. Un jour banal comme les autres, qui s’annonçait aussi ennuyant et plat que le précédent et celui d’avant encore…
Mais voilà, ce jour là, une bête inattention. Un motard bourré qui fonce sur les deux garçons. Si l’un s’en tire avec une cheville foulée, le cas de l’autre semble plus préoccupant.

Le 25 janvier : June se réveille à l’hôpital, un peu sonné. Lorsqu’il tente de se réveiller, une douleur affreuse se fait sentir au niveau de sa cheville, alors il rennonce.
Il ressortira 2 jours plus tard de l’hôpital avec une attèle et des bons pour des séances chez un kiné.
Premier lieu où il se rend : la maison des parents de Jey.

Arrivé là-bas, la première chose qu’il demanda fut « où est Jey? ».
Ses parents, hébétés, gardèrent le silence un long moment.

« Tu n’es pas au courrant mon petit…
- Ou. Est. Il
- Tu sais Jey était très mal et nous…il
- Ou est-il, dites le moi!
- S’il te plait June tu dois bien comprendre…
- OU EST IL »

Hurla-t-il, menaçant du poing le couple. Devant le regard impuissant et affolé des deux parents, il tourne les talons et décampe.
June ne revit plus jamais Jeyson
Mais son caractère, à compter de ce jour changea totalement. Il commença, contrairement à auparavant, à sortir, à voir du monde. Trop de monde. Il n’était obsédé que par une chose : rencontrer des gens, plein de gens. Un rien l’ennuyait. Aucune de ses relations n’était sérieuse. Elle finissait toujours de la même façon : June congédiant poliment son aventure. C’est à cette époque qu’il rencontra Magaly. Magaly était une fille à problème, comme lui. Droguée, elle passait son temps à se faire des bad trips et à comater dans sa chambre de bonne. Ce que June aimait chez elle ? Son imprévision. Avec Magaly, chaque instant s’avérait différent du précédent. Elle était sa meilleure amie, car la seule personne dont il ne se lassait jamais.
Lorque, à ses 16 ans, Magaly mourut d’une overdose June décréta qu’il détestait les filles. Car elles étaient faibles, Magaly en était la preuve.
A partir de ce jour, plus aucune conquête féminine, plus que des hommes. De toutes les sortes. Même s’il les trouvait laids, débiles, ou autres, il les prenait. Ca n’était plus qu’un défi. Presque le record de celui qui s’enfilerait le plus de relations possible.
June était un éternel insatisfait. Il s’ennuyait, toujours, et encore. On ne le voyait jamais deux fois avec la même personne, ou presque. Il arrivait que de rares énergumènes arrivent à le fasciner plus de trois jours. Mais ce temps révolu, ils finissaient comme les autres : sur la touche.

Mais que fait notre petit June ici ? En réalité, rien de très pittoresque. Une simple petite crise d'appendicite et hop, voilà le petiot dans l'ambulance en direction e l'hôpital du Crepusculaire, où on l'operera pour lui ôter l'organe gêneur. Seulement voilà, son séjour s'éternisera un peu plus que prévu...
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Esteban Darc
Grand Manitou Cinglé / Tisseur de rêves
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MessageSujet: Re: June Vynemus   June Vynemus Icon_minitimeSam 20 Jan - 5:17

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