Alice du Capheil

Nom : Du Capheil
Prénom : Alice
Surnom : ... Al?
Age : 15 ans
Origines :Françaises
Orientation sexuelle : ... Lapinsexuel XD


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Apparence physique :

Alice porte bien son prénom, il est le portrait craché de l'héroïne de Lewis Caroll. « Il », oui, parce qu'Alice est bel et bien un homme, malgré son prénom et son apparence féminine. Alice a de longs cheveux blonds, bien plus longs que ceux du dessin animé. Légèrement moins « jaunes » aussi. Ils arrivent jusqu'au bas de son dos, bien que quelques mèches, coupées plus court, sur le devant, aient juste la bonne longueur pour pouvoir se mettre devant ses yeux et l'empêcher de voir. Mais pour remédier, du moins en partie, au problème, Alice les attache généralement en queue-de-cheval avec un ruban noir, lorsqu'il ne porte pas celui-ci en bandeau. Ses yeux, quand à eux, sont grands, et à l'image de sa robe, bleus. Mais pas n'importe quel bleu, s'il-vous-plait. Alice a les yeux couleur de l'océan, d'après ce que lui a toujours dit son père. Ils ne sont pas vraiment pales, plutôt d'une couleur éclatante, assez surprenante. Et surtout, ils sont grands, et très expressifs. Sa bonne humeur, sa tristesse, sa colère, sa joie, et même ses pensées, tout, absolument tout, est retranscrit dans ses yeux.

Mais l'expression de son visage ne s'arrête pas à ces simples yeux. Au nord, nous trouvons les sourcils, qui accompagnent les yeux et l'humeur, en se rabaissant et redressant à volonté, et au sud, les joues. Alice a très rapidement le rouge au joues, que ça soit par timidité, par énervement, ou simplement par essoufflement, après un effort. Il est rare de le trouver avec un visage entièrement pale.

Quand à sa bouche, elle reste le dernier moyen d'expression. Outre la parole, le jeune homme aime contorsionner sa bouche, autant que ses sourcils, pour faire de grands sourires, de grandes grimaces, de grandes mines atterrées, ou de jolies bouches bées. Au final, le seul élément inexpressif de ce visage pale reste son petit nez, assez discret.
Il n'est pas rare que l'on confonde Alice avec une fille, de par sa manière de s'habiller et de se comporter, mais aussi par sa corpulence. Alice est plutôt grand, puisqu'il toise le mètre quatre vingt, mais assez svelte, avec des bras et des poignets particulièrement fin. Et pour conforter les inconnus dans leur doute, le jeune homme revêt généralement des robes. Mais évidemment, pas n'importe quelle robe. Ses robes sont toutes bleues, avec des touches de blanc, soit avec un col de dentelle, soit par le bout des manches, soit par le bas de la robe. Quand il décide de quitter ses robes pour une tenue plus masculin, c'est également vers le bleu et le blanc [Et le rouge, wesh, france représente -_-] que ses choix se portent. Il met alors de simples jeans, parfois délavés pour faire du blanc, avec des chemises, ou l'aura compris, blanches ou bleues. Alice porte assez régulièrement des gants de soie blanche, et ne se sépare jamais de la montre du lapin blanc, trophée que son père lui a offert en lui expliquant qu'il l'avait volée au lapin blanc.


Signe particulier : Sa montre peut être un signe particulier puisqu'il ne s'en sépare jamais.


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Caractère :

N'étant pas habitué à la présence d'autres jeunes, puisqu'il n'a découvert cela que très tardivement, Alice garde un caractère un petit peu à part, et ne sait pas vraiment comment se comporter en société. Généralement, les gens qu'il rencontre le prennent pour un fou. En réalité, Alice est juste maladroit, extrêmement maladroit même. Il laisse libre court à toutes ses pensées, et tous ses gestes, puisqu'il ne connaît pas les règles de vie en société. Ainsi, si une question lui trotte dans la tête, aussi maladroite et mal-venue qu'elle soit, généralement, il la posera. De même pour les remarques. Lorsque quelque chose ne lui plaît pas, il aura tendance à le dire directement, sans pincettes. Soyons clairs, il ne semble avoir, en fait, aucun tact. Aux yeux de certains, il pourrait même paraître blessant et méchant de par ses remarques. Pourtant, il n'en est rien, Alice a un caractère de gentil petit garçon, et aime faire plaisir aux gens qu'il aime, et aux autres. Il ne sait juste pas exactement comment s'y prendre. Et comme la plupart des gentils petits garçons, il est plutôt naïf. Racontez-lui que vous avez vu un éléphant rose courir derrière une montagne d'argent, et il vous demandera le lieu de votre observation avant de s'y rendre en courant, ou s'émerveillera de votre découverte.

Un petit peu rêveur, il lui arrive souvent de se perdre dans ses pensées et ses rêves, le plus souvent vers les souvenirs du pays des merveilles. Ainsi, comme il pense presque toujours à autre chose, il paraît extrêmement tête en l'air, et coupe souvent les conversations pour passer du coq à l'âne, simplement parce que l'âne passe dans son esprit à ce moment là. Une chose que l'on ne pourra pas lui reprocher, et que l'on pourrait presque qualifier de qualité est que, de ce fait, il est honnête. Très honnête. Trop honnête sûrement, mais il est honnête. N'importe qui peut lire dans ses pensées comme dans un livre ouvert, parce qu'il en déballe tout le contenu, sans presque rien garder pour lui.
Tout ceci est évidemment valable s'il ne se trouve pas intimidé par la personne devant lui. En effet, Alice connaît mal les gens, et un caractère un petit peu extravagant, ou un physique un petit peu spécial peut l'intimider. Alors, ses joues se rempliront de rouge, et il sera moins franc, plus hésitant, plus timide. Ceci dit, devant ce genre de personnes, seules ses paroles seront contrôlées. Son attitude un petit peu spécial, elle, restera la même A savoir qu'Alice a très souvent des crises de fou rire, et ce, la plupart du temps, sans raison. Et ces crises là, il est totalement incapable de les retenir, même devant une personne intimidante. Que l'on puisse prendre ça mal? Cela ne lui viendrait même pas à l'esprit. Ses fous-rires ne viennent pas de moqueries, ils semblent d'ailleurs n'avoir aucune origine.


Aime : Le lapin blanc XD
Aime pas : Euuuh ... les artichauds? ... Ah si, le monde dans lequel il vit [3615 rebel-de-la-société], et ceux qui ne croient pas à ses histoires de pays des merveilles.

Talents : Courir après ... à peu près tout.


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Famille : Un père fou, Gabriel. Sa mère s'est enfuie dès la naissance d'Alice, le laissant à la charge de son père.

Amis : ...
Amours : Un certain... Lapin?


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Raison de sa venue ici : Bien qu'il semble complètement fou, Alice n'est pas ici pour des raisons psychiatriques. Il a été amené à Crépusculaire pour se faire opérer de l'appendice.

Depuis combien de temps est-il ici ? Depuis une semaine.

Sa position par rapport à la situation : Alice n'est au courant de rien.



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Histoire :

Gabriel n'a que vingt ans lorsqu'un charmant paquet surprise est déposé devant sa porte. Étudiant en philosophie, le jeune homme est passionné par Lewis Caroll, et plus particulièrement, par l'univers qu'il a créé autour de cette femme, Alice, et ce pays des merveilles. Ce n'est pas son fils que l'on aurait du internet en hôpital psychiatrique, mais plutôt lui. En effet, sous une apparence d'étudiant banal et bon vivant, Gabriel n'est pas réellement équilibré, et différencier ses fantasmes, ses idéaux, ses rêves, de la réalité, est chez lui une fonction défaillante. En voyant le petit garçon dans le panier, sur le palier de sa porte, une idée folle lui vient à l'esprit. Une idée qu'il a bien envie de réaliser.
Le jeune homme ne voulait pas élever son enfant dans ce monde empli de technologies, de cables, de politiciens pervertis, d'études ne menant à rien. Gabriel rêvait d'un autre monde [Je revaaais d'un auuu*SBAAAM*], du pays des merveilles de Lewis Caroll, recréé par Walt Disney. Il ne veut pas voir son enfant scotché à la télé, ou traînant dans la rue, comme il l'avait fait, en train de fumer certaines substances illicite, mais préfère qu'il reste dans cette innocence propre aux nouveaux nés, propre aux jeunes enfants, ou aux contes de fées.
Et c'est ainsi que le jeune adulte décida de faire de la vie de son fils un conte de fées, et pas n'importe quel conte de fées, mais celui d'Alice. Dans le livre, c'est une fille, évidemment, mais de si petits détails n'allaient pas l'arrêter. Une robe et un petit peu de maquillage feront l'affaire, surtout s'il laisse au futur enfant les cheveux longs. Les limites de ce projet de folie auraient pu être les moyens financiers, mais, manque de chance -ou non-, Gabriel se trouvait, de ce coté-ci, plutôt à l'aise, puisque le jour précédent l'arrivée de l'enfant [Il faut bien compenser les malheurs], il toucha miraculeusement une de ces cagnottes de jeux télévisés, qui ne lui était d'ailleurs pas destinée. Ce ne furent donc pas les moyens qui entravèrent le projet du jeune homme. Sa maison fut assez rapidement aménagée en un grand sanctuaire, imitation foret magique. Les murs furent couverts de peintures représentant des plantes géantes, des arbres, le ciel au dessus, les oiseaux,.... Partout dans sa maison, Gabriel posa du gazon, et fit pousser plusieurs plantes, sans oublier d'acheter un ou deux arbres. Le salon fut, quand à lui, métamorphosé en maison du lapin, et sa cuisine en table du chapelier fou. Au final, sa maison s'apparentait à un quartier « Alice in Wonderland » d'un parc d'attractions pour enfants.

Les six premières années du petit garçon se déroulèrent principalement dans une pièce aménagée en clairière de foret. Alice ne connut évidemment pas la présence d'autres enfants, puisque sa principale compagnie se résumait à son chat, et sa nourrice, engagée par Gabriel pour faire son éducation.
Et puis, après l'anniversaire des six ans d'Alice, Gabriel décida qu'il était à présent temps de faire vivre à son fils l'aventure de l'héroïne de Lewis, l'épopée d'Alice au pays des merveilles. Mais une fois de plus, il ne fit pas les choses à moitié. Entre temps, le jeune homme avait abandonné ses études, pour se consacrer à ses deux plus grandes passions, l'écriture, et l'éducation de son fils. Quand aux revenus financiers, il faut dire que cette cagnotte, florissant grâce aux interets de la banque, l'aidait bien. Et pour ne pas tout dépenser trop vite, il travaillait de temps en temps dans des bars, des restaurants, des magasins,.... Jamais pour bien longtemps, car il arrivait toujours un moment ou les gens se rendaient compte que tout ne tournait pas vraiment bien dans sa petite tête.
Toujours est-il que pour cet événement, tout fut programmé et travaillé jusqu'au bout, pour que l'aventure soit le plus réaliste possible. Et la suite se déroula à peu près comme prévu. Alice somnolait, ce matin là, lorsqu'il vit un petit lapin blanc courir en regardant sa montre. Le lapin, c'était un comédien, parmi tant d'autres, engagé par Gabriel pour l'occasion. Alors, intrigué, le petit garçon suivit le lapin blanc, et se retrouva dans un terrier, ou il aperçut diverses choses et autres plus étranges les unes que les autres. Il ne chuta pas, contrairement à l'Alice du dessin animé, parce que son père ne trouva pas les moyens de recréer cette chute artificiellement. De même, l'histoire des élixirs pour changer de taille fut abandonnée. Mais le voyage dans un bocal d'eau, taille XXL puisqu'Alice n'avait pas rétréci, fut, lui, conservé, et de même, l'arrivée du jeune garçon sur une plage sur laquelle danseraient des oiseaux. De cette plage, Alice suivit à nouveau la piste du comédien lapin blanc, avant de tomber sur les siamois, et de leur fausser compagnie, parce qu'ils étaient pénibles. Il rencontra finalement le chat fou [XDDD, c'était même pas volontaire O__o], le chapelier fou et le lièvre de mars, les fleurs chantantes, puis la charmante reine de pique et ses assistants jeu de carte.

Finalement, lorsque le garçon revint de son périple, Gabriel lui fit croire qu'il s'était endormi. Malgré tout, le petit resta sceptique, et continua à penser à ce fameux lapin blanc, jamais rattrapé. Alors, son père lui montra la montre, la fameuse montre du retard, objet fétiche du lapin blanc, en lui expliquant que plus jeune, il l'avait attrapée parce que le lapin blanc l'avait laissée tomber, et n'avait pas eu le temps de revenir la chercher. Plus heureux que jamais, le garçon accepta le cadeau, qu'il idolâtra comme s'il s'agissait du plus beau des trésors. Son éducation se poursuivit, et Gabriel, aidé d'une marraine, fournit à Alice toutes les connaissances enseignées aux enfants de son age. Le seul bémol, dans cette histoire, était le manque de présence d'autres jeunes. Parce qu'il avait beau avoir son chat, et entre-apercevoir de temps à autre le bout de la queue du lapin blanc, Alice s'ennuyait un petit peu. Mais à chaque manifestation d'ennui de son fils, Gabriel s'empressait de lui trouver une occupation, parce que l'ennui était pour lui l'une des pires choses au monde.

Et c'est ainsi que se déroula toute l'enfance d'Alice, et le début de son adolescence.... Jusqu'à ses quatorze ans, jour fatal ou l'un des collègues de Gabriel, dans le café du coin, découvrit que le jeune homme était complètement fou. Immédiatement, il prévint les autorités du coin, qui, après courte analyse, décreterent qu'il était bon à internet. Par la même occasion, ils découvrirent la petite fille, plus si petite, en petite robe blanche et bleue, perdue dans cette foret artificielle. Alors, Alice fut séparé de Gabriel, et du pays des merveilles, pour retomber dans la réalité.

Et ce retour ne fut pas des plus aisés, bien au contraire. Parce que dehors, le lapin blanc n'existait pas, pas plus que la reine de pique ni que le chat de Cheshire. Dehors, on l'appelait dégeneré, imbécile, travesti, mais le garçon ne comprenait évidemment pas un seul de ces mots. Alice fut envoyé dans un internat pour orphelins, dans lequel la vie fut loin d'être évidente. Le plus dur dans cette histoire, ne furent pas les moqueries des autres enfants, bien que blessantes, mais plutôt de réaliser que le monde dans lequel il avait vécu jusqu'à présent n'était qu'une illusion. Sauf qu'en réalité, il ne l'admit pas réellement. Il existait bien un monde, ce monde réel, pourri et déprimant, dans lequel il vivait... Mais pour lui, cela ne signifiait pas que le monde des merveilles n'existait plus. Plutôt que, pour une raison inconnue, peut-être parce qu'il avait atteint l'age limite, on l'en avait sorti. Alors, il rêvait de retourner dans ce monde, sachant pertinemment que cela ne serait pas possible. Plusieurs fois, les professeurs lui dirent qu'il lui fallait aller vers les autres élèves, et sympathiser avec eux. C'est ce qu'il fit, ou tenta de faire, mais tous les eleves rejetèrent cet énergumène bizarroïde persuadé d'avoir couru après le lapin blanc d'Alice au pays des Merveilles.
Il semblait fou, mais ne fut en réalité pas envoyé en hôpital psychiatrique. D'ailleurs, Alice n'était pas fou, loin de là. Il lui était simplement impossible de réaliser que ce qu'il avait vécu pendant toutes ces années n'existait pas. Néanmoins, peu après ses quinze ans, Alice quitta cet établissement, dans lequel l'entente n'était toujours pas glorieuse avec les autres élèves, pour être transporté dans un hôpital, le fameux hôpital du crépusculaire. Non pas parce qu'il était fou, simplement parce que le matin même, il avait déclaré un très grand mal de ventre. Et le diagnostique fut vite fait, appendicite. Alors il fut opéré, et c'est ainsi que le pauvre petit Alice passa du pays des merveilles au pays des cauchemars.

Je refuse de valider les fiches bâclées et les copiteurs


*SBAAAAAM*

ouais ouais validé


Edit : Copiteur toi meme é__é, June c'est MON Sims *dehors *