Jean-Louis Christopher Maël Roobest des Nymphéas [Keuf]

Alors pourriez-vous laisser la fiche ouverte ? Car je mets une de ses premère mais depuis, il a un petit peu changer.


--' ce personnage est une stupidité ...



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"Il est toujours avantageux de porter un titre nobiliaire. Etre "de quelque chose", ca pose un homme, comme être "de Garenne", ca pose un lapin." de Alphonse Allais


Nom : Roobest des Nymphéas // à savoir : Le nymphéas est un nénuphar blanc, il sert de présents lors de mariage, mais est aussi utilisé lors du sacrifice d'une vierge O_o, pratique rarement utilisée actuellement.
Prénoms : Jean-Louis - Christopher - Maëlinten
Surnom : Maël - Petit Noël
Âge : 26/27 ans
Date de naissance : 10 mars 1980
Lieu de naissance : 5 rue de la liberté, St Denis, Ile de France, en France.

Nationalité : Française - parents français

Sexualité : homosexuel ayant déjà eut de nombreuses relations avec des femmes. Sans dominance, est aussi bien Uke, que Seme, dominant, que dominé. Aime autant la douceur que la violence ...
Débridé angélique ^_^


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Apparence physique :
"La beauté du corps, découronnée de celle de l'âme, n'est un ornement que pour les animaux." par Démocrate

Jean-Louis fait 1 mètre 79, et 62 Kg. Il a une peau d'une couleur très claire. Son corps imberbe et blanc bronze légèrement en été et le corps prend alors une couleur mielleuse, comme était le corps de Juliette. Son aspect général est assez efféminé mais il n'EST pas effiminé (vous voulez une claque ? Comment ça je ressemble à une fille ? ...).
Il a de longs cheveux blonds tirant vers les blonds aux reflets dorés. S'ils sont détachés il lui tombe jusqu'à la naissance des fesses. Ils sont à mi-fins, mi-épais, soyeux et doux, et les méches du début du visage sont plus courtes s'arrêtant au niveau des épaules, puis du nez, ainsi que la franche qui lui tombe devant les yeux s'il ne la relève pas. L'abondante chevelure de Jean-Louis augmente l'apparence délicate de sa personne, surtout qu'il accentue les traits semi-triangulaires du visage fin de l'homme. (Evitez de lui toucher les cheveux, il est très très sensible, surtout à certains niveaux, audessus des oreilles, sous le lobes, au niveau de la nuque ... >_<)

Ses sourcils longs et fins expriment les réflexions, colères, souhait, tristesse de Maël avec une facilité qu'on ne remarquera que si on ne connaît depuis longtemps. Il entoure des yeux en forme de noisette de couleur bleu nuit.
Le nez est petit et plutôt bas sur le visage.
Les lèvres charnues et fines, sont plus rosés que le visage blanc, mais elles restent assez palotte tout de même. Seule la langue vire réellement à un rouge cerise, sur son visage. C'est une langue rouge sang, et langue de chat. Il ne supporte pas tous les plats trop épicée, trop chaud, trop froid --' chochotte ! (--' << ne lui dites po ça)

Le cou de Jean-Louis est assez fin, ce qui explique qu'on puisse le prendre pour une femme. Cependant, sa paume d'Adam est visible pour les bons observateurs. Des épaules étroites, donne lieu sur une colonne vertébrale tendue à l'extrême. Jean-Louis se tenant parfaitement droit, à cause d'un mal de dos qui apparaît vers les fins de journées difficiles. (*_* il fantasme sur l'époque où il avait des massages, et va régulièrement faire cette "folie" d'aller chez des masseurs, masseuses) Les bras de Jean-Louis, tout comme ses jambes, sont longs et fins. Ses doigts de la même envergure pourraient lui donner un aspect squelettique s'il ne s'emboîtait pas parfaitement à sa personne.
Jean Louis fait du 37 en pointure.

Style vestimentaire : Chemise noire, pantalon noir/jean noir, blousse blanche, chaussette noire, chaussure cirée, ceinture. C'est la tenue traditionnelle qu'il porte tous les jours. Marque : manblack, Ralph Lauren, Hugo Boss, Ataske Modoshi. La cravate l'insupporte, et il a tôt fait de la retirer, mais la porte quand il doit la porter. Il aime bien au fait, ^^ sauf quand elle est trop sérrée.
Chez lui : Longue chemise sans rien d'autre, tenue féminine, voir robe et jupe, nudiste ou classe, il s'amuse à ne jamais s'habiller pareil. Jean Louis devrait porter des petites lunettes, mais il ne les met que rarement, cependant quand il est dans sa chambre, seul, il se permet de les mettre. Il peut lui arriver de porter des chaussures à talons. Outre ces petits cotés travestis, Jean-Louis à la capacité de mettre n'importe quoi, ça lui va. Cependant, il évite les shorts, préfère les boxers au slip, et n'ai pas contre porter un baggy, mais il évitera tout de même, surtout pour travailler. C'est plutôt le genre à se lever à trois heures de matin, prendre un café, une cigarrette, enfiler un pantalon et une chemise et partir plonger dans ses dossiers. Puis rentrer le soir, prendre une douche, mettre une chemise dix-fois trop grande, bosser et dormir, sans se poser des questions existencielles sur son style.

Signes particuliers : Le buste de Jean-Louis, contient une grosse cicatrice dans le dos que Jean-Louis à caché sous un tatouage, un scorpion signe de son frère Marc Antoine. Il a second tatouage sur le bras droit, tribal, qui symbolise le papillon. Enfin, une marque sur sa main gauche ressemblant peut-être à une araignée et gravé. Ce n'est pas un tatouage mais bel et bien une cicatrice.
Ses deux oreilles sont percées au cartilage et au lobe mais il ne porte pas de boucles d'oreilles la journée, rarement le soir. Il porte un bracelet avec une clé à sa cheville droite.

bras droit et partie du dos, emplacement de la marque sur un shema de main. Image du bracelet à sa cheville :
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Caractère :

C'est son caractère qui fait à chacun sa destinée. de Cornelius Nepos

Maël est un jeune homme quelque peu lucide, froid et calme. La vie ne lui a pas fait beaucoup de cadeau. Très minutieux sur tout, propre et carré, il est méticuleux sur chaque être et chaque chose. Il sait lire entre les lignes et avec une froideur violente analyser un être comme-ci ce n'était qu'un sujet d'expérience passionnant. Il a toujours l'air de ses foutres de tout, et semble dénué de sentiments amicales ou amoureux. Seuls ses patients comptent.
On pourrait facilement diagnostiquer de nombreux troubles chez lui : de la personnalité, du comportement, de la tendance à schizophrénie, au dédoublement de la personnalité … et j'en passe. C'est peut-être pour ça qu'il fait un bon psy. Les fous soignent les fous ^_^
Pourtant loin de tout ça, Maël est un jeune homme rougissant. Un tempérament qui boue à l'intérieur de lui. Un vrai volcan recouvert de glace. Anxieux, il a sans arrêt peur. Peur que Jean-Philippe ne fasse un bêtise, peur qu'il arrive quelque chose à Marie-Anne, peur que Marc-Antoine le retrouve, peur d'être comme ses parents : cinglé, peur d'être homosexuel, peur de vivre, peur …

Cependant, il n'accepte pas ses peurs et les refoule en lui, si bien qu'il donne cette impression paisible de n'être qu'une statue imperméable. On peut le frapper, le taper, le bousculer, il reste avec le même visage.
Il sait sourire, contrairement à ce qu'on pourrait penser.
Très doux envers ces patients, il est toujours là pour eux. Il ne pratique que depuis peu de temps, mais aillant étant longtemps stagiaire, son esprit c'est habitué à toutes formes de crises.
Maël n'est pas quelqu'un d'heureux, il se présente toujours sur le nom de Dr Roobest et il refuse de donner le prénom Maël, quand à celui de Jean-Louis, il ne le rend que plus glacial. Au fond c'est comme-ci il y avait trois êtres en lui, Jean-Louis, Christopher, et Maël.
Seule sa sœur l'appelle Maël lorsqu'elle va mal car elle sait que par ce nom elle atteint directement le cœur de l'homme, c'est la clé de la première porte de sa coquille.
Son esprit est quelque peu brisé, mais déterminé il a un fort caractère qui peu parfois lui porter défaut. Il vit dans sa coquille, et casser sa coquille serait le rendre vulnérable. Il ne veut pas l'être, être brisé une nouvelle fois.
Maël a un goût pour le travestisme soutenu mais en cachette. Aillant lu le journal intime de Juliette où elle désirait une fille, et ailant entendu son père lui dire à de nombreuses reprises qu'il ressemblait à Juliette, ce mettre en femme le rassure mais c'est encore une de ses nombreuses peurs.

Maël veut paraître le plus normal possible ! Aillant souffert de ressembler à une fille, d'être doux, d'avoir un mère différente, d'être différent, il ne le supporte plus, persuadé que c'est à cause de ça que tous les malheurs lui sont tombé dessus. Par contre, pour ses patients Maël préconise tout le contraire de ses propres agissements vers sa personne. "Faite ce que je dis, pas ce que je fais !". Comme il a toujours attiré les pervers, et les regards louches, il ne s'assume pas même s'il parait très confiant.

Finalement, il est plus complexé par sa personne, et ne supporte pas sa propre douceur, celle qu'il offre sans s'en rendre compte à ses patients. Maël ne montre pas ses peurs, et refuse toute aide. Qui d'ailleurs l'aiderait, il n'est pas patient, il est psy ! Soyons sérieux ! Mais ne pensez pas "uke", ou "dominé." voir "gentil." Il a un affreux caractère quand ce n'est pas ses patients, et peut être absolument tout ! Il ne supporte pas grand monde, est fumeur, buveur, râleur, grincheux, insupportable ! Mefiez-vous de lui, comme n'importe qui d'autre.
Il céde cependant facilement au chantage O_o mais personne n'oserait lui en faire un.

Aime -Aime pas

"Entre le bon sens et le bon goût, il y a la différence de la cause à son effet." La Bruyère

Maël aime la musique en générale, en particulier le classique. Le whisky, et le vin français. Il aime parler Allemand, mais préfère la France à l'Allemagne. Passionné d'Histoire, il est un peu triste de ne pas en avoir fait suffisant. Lorsqu'il était enfant, il aimait beaucoup les sucreries, et les fruits sucrés comme les cerises. Mais il a toujours eut un vrai faible pour les cochonneries salés, les gâteaux, et le reste, cependant, il se refuse à en manger, pourtant il craque facilement.
Maël aime en général tous les arts, littérature, sculpture, peinture.
Il n'aime pas tellement les engins mécaniques, mais concède adorer SA moto et SON ordinateur portable. Il ... deteste ceux qui touche à SA moto, ou à SON ordinateur portable ^^"
En général, Maël aime bien les soupes japonaises, et les plats japonais. Au contraire les plats Allemand, alsaciens, ne sont pas ses mets préférés.
L'homme aime bien les vêtements féminins, et s'amuse à en porter quand il est seul chez lui. Bien entendu c'est son secret et il est hors de question de sortir dehors pour lui ainsi, ce qui est faux, il sort souvent ainsi.

Maël cependant à tendance à prendre la personnalité des autres. Lorsqu'il est seul chez lui, il essayera d'avoir un comportement d'aveugle, de sourd, de muet. Avoir un comportement d'enfant, ou s'automutilé, pour analyser et faire des progrès. Il est son propre cobaye. Il adore cela, s'assoir sur le sol de sa chambre et se mettre dans la peau d'un violeur, d'un violé, d'un traumatisé, d'un fou ...

En sport, Maël aime la basket, sur un terrain de basket, il est réellement lui, il se fâche, il rougit, il tape du pied, comme un enfant. Il a pratiqué l'Escrime et l'équitation. Il n'aime pas tellement le football mais étudiant, il y a joué avec des amis. Il est assez mauvais joueur dans le sport.
Maël est un fumeur invétéré, (vous avez dit pas le droit de fumer devant en consultation ? --" va falloir lui rappeller), il carbure au café et au coca (toute les une à deux heures). Coté sexualité ses goûts concernent : rencontre de la nuit, luxure et débauche, passer un faux numéro et un faux nom. Oui, c'est un gentil garçon. Il adore le sex --' mais rarement voir jamais avec ceux travaillant avec lui, ou ses patients.

Talents : Bon voleur, habile de ses mains, joueur, bon ... comédien. Adore le cirque, très souple ...
A découvrir.

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Famille :

Les figures parentales --'



Père - de sang et d'esprit, - figure de l'amour perdu menant à la folie
"Celui qui s'est marié une fois mérite une couronne de patience, et celui qui s'est marié deux fois une camisole de force." - Proverbe Italien :
Charles André Léon Roobest des Nymphéas à grandit au château des Célestins, dans un quartier bourgeois de la province de St Denis. Très vite il se passionne pour l’histoire de France, et rêve de faire visiter des châteaux, et d’enseigner à des enfants. Malheureusement, ses parents, en particulier son père, Jean-Louis Roland Roobest des Nymphéas, veulent que leur désiré fils travaille dans les finances.
Charles André obéit donc à son géniteur de père et s’oriente vers une carrière financière des plus prospère et prometteuse. Au fur et à mesure des années, le petit garçon collectionnant les timbres et vivant dans la solitude du château devient un jeune homme sans rêve, qui collectionne femme et argent.
Fiancé à Anne-Claire de la Rocincourt, lui être infidèle ne lui pose aucun problème. Il ne l’aime pas. Elle aime son argent.

Pourtant au fond de lui, ce petit enfant aux grands yeux étonnés de découvrir des lieux secrets dans le domaine vit encore. Est-ce pour cette raison, qu’il tombe amoureux de la simple Juliette ? Juliette. Une gamine des beaux-arts qui peint des corps, qui peint des visages, qui peints la vie. Issue du quartier modeste, elle semble heureuse de sa vie. Elle rencontrera Charles dans un cours de dessin où elle pose pour gagner de l’argent, sans honte et sans pudeur.
Charles André voit en elle une beauté incarnée. Pour lui, c’est le coup de foudre. Il se promène avec elle dans les rues, près de la scène, il l’aime, elle l’aime. Charles André finit à l’académie à 24 ans. Il décide d’épouser Juliette, contre l’avis de son père et de sa mère. Il rompt avec Anne-Claire. Juliette est malade, de nombreux troubles mentaux, mais Charles l'aime, et le reste n'a pas d'importance.
Déshérité, l’enfant unique n’a que faire de la colère de ses parents. Sa femme et lui s’installent à Beauté, un village près de Fontainebleau. Lui, travaillant en tant qu’enseignant de primaire, elle en tant que maîtresse de maternelle. L’amour est parfait. Parfois il y a des disputes, mais elles ne sont que papier dans le feu bouillant d’un premier vrai amour.

La seule véritable dispute concernera Jean-Philippe Christopher, l'enfant d'Anne-Claire. Anne-Claire dit que c'est l'enfant de Charles. Charles finit par le reconnaître, et verse une pension conséquente, lui rendant visite fréquemment. - Il n'a jamais fait l'amour avec Anne-Claire, mais ne supporte pas de la voir dans cet état de tristesse ...

L’année de ses 26 ans, Charles André accueille la naissance de son fils avec joie. Jean-Louis comme son père. Christopher comme son grand-père et son fils, et Maël comme le veut sa femme. D’ailleurs elle ne l’appelle qu’ainsi, Maël. Trois ans et deux mois plus tard, Juliette mourra dans un dramatique accident de voiture. Le village était traversé par une de ces grandes nouvelles routes qu’on nomme "Autoroute", un chauffeur trop rapide, une rue mal éclairée. Le mal était fait.
Le mal.
1 an plus tard, après une forte dépression, Charles emménage au château familial. Il devient l'associé de son père, et épouse deux mois plus tard Anne-Claire. Anne-Claire qui l'a soutenue dans son deuil, qui a payé la tombe de Juliette, et qui veut être une mère pour Maël.

Mais Juliette reste dans sa mémoire.
Deux ans plus tard, Anne-Claire mettra au monde une petite femme. Marie-Anne - Cristelle - Juliette Roobest des Nymphéas.

Dix ans plus tard, Charles se suicidera. On le retrouvera mort sur le fauteuil de son bureau, une lettre écrite de sa main. L'allure digne, de l'heure de son vivant, à l'heure de sa mort, il serra rester le même enfant incompris qui ne désirait que vivre une vie calme.




Mère de sang - mère de coeur - figure de l'amour et de la folie
"La première femme est une esclave, la deuxième une compagne, et la troisième un tyran."Proverbe Polonais :
Juliette Leblanc est une enfant joyeuse et rieuse. Elle vit dans un quartier populaire, et va dans la primaire de son quartier. Moyenne élève en classe, les enseignants la dissent discrète, tête en l'air, rêveuse, et une forte tendance à l'imagination. Cela ne changera pas avec le temps, augmentant au fils des années.
Juliette à des troubles schizophrénique, sa mère l'est, sa grand-mère devait l'être. Elle a des troubles assez forts, et est paranoïaque. Elle se sent mal dans sa peau, et c'est pour cette raison, qu'en avril, de l'année de ses dix-sept ans, elle part à Paris. Elle rentre aux beaux-arts, et commence des études.
Là-bas pour gagner de l'argent, elle pose comme mannequin.
Juliette est homosexuelle, sa copine et elle sont heureuses, bien que les crises de Juliette étouffent parfois Clarence. Juliette fait toujours tout pour se faire pardonner, et la vie suit son cours. Cependant les deux jeunes femmes se séparent, après une violente dispute.
Un jour, après un de ses cours, Juliette rencontre un homme. L'homme l'invite a aller marcher. Juliette et lui deviennent amis. Charles de la je-sais-trop-quoi. Charles tout court pour elle. Elle sait qu'il est amoureux d'elle, mais elle lui a dit qu'elle aimait les femmes et que cela ne l'intéressait pas.
Ils sont bons amis.
Juliette finit par tomber amoureuse de Charles, un homme androgyne, et charmant. Elle ne sait pas les problèmes qu'elle pose à son mari, et est heureuse d'accepter de se marier avec lui.
Devenir maîtresse est un rêve de petite fille, et elle l'accomplie grâce à Charles qui l'aide à passer le concours d'Examen.

Lorsqu'elle tombe enceinte, Charles veut qu'elle mette au monde l'enfant au même endroit qu'il est né. Elle accepte, amusé par l'idée. Elle demandera elle, que l'enfant soit baptisé et que la marraine soit Clarence Leblanc. Clarence qui a une nouvelle amie, avec qui elle vit depuis des années, accepte, heureuse de retrouver une ancienne camarade de chambre.

Au fur et à mesure des années, les troubles schizophréniques s'accentuent, et la paranoïa en prend un coup. Juliette est jalouse, jalouse de Anne-Claire, Jalouse des mères qui viennent chercher les enfants à l'école. D'abord soigner sous médicaments, Charles ferra cesser le traitement, refusant de voir sa femme se transformer en femme fatiguée et malheureuse. La confiance mutuelle qu'ils se donnent augmente, Juliette se remet à vivre normalement. Elle aime son enfant, Maël, elle ne travaille plus pour s'en occuper, elle passe ses journées à le regarder dormir, à la pouponner, l'habiller, comme une petite fille ferrait avec ses poupées. Elle lui donne le lait tard, jusqu'à deux ans, et n'accepte de le laisser dormir seul que lorsque Charles est là.

Le soir d'une réunion entre copains, Charles ne la prévient pas qu'il va boire un coup. Juliette commence a paniqué, elle prend son bébé de trois ans, traverse la route pour aller à l'école, une voiture passe … Et l'accident se produit.
L'enfant n'aura par miracle rien.
La mère de Maël mourra.



Clarence Leblanc (maraine) : Figure de la liberté mais aussi de la fuite
"Il faut aimer les gens, non pour soi, mais pour eux. " de Collin d'Harleville
Maraine de Maël, très amoureuse de Juliette, elle ne cessera de l'aimer, même après le mariage de cette femme. Mais Clarence est une femme qui sait aimer sans souffrir pour autant, voir Juliette heureuse lui suffit largement pour combler son bonheur.
Elle devient très amie avec Maël, même si elle le voit que peu de fois. Elle lui envoie régulièrement des cartes, et lorsqu'elle arrive à l'improviste, c'est toujours avec facilité qu'elle le conduit à un état joyeux, et de rire. Si Clarence est une très belle femme, depuis la mort de Juliette, elle ne le supporte plus. Elle se fait donc passer pour un homme ...



Richard Love (parain) : Seul vrai "autorité protectrice"
La dernière fois que j'ai pénétré une femme, c'était en visitant la statue de la Liberté. - Woody Allen
Rien à dire, cet homme est ... effrayant dans un sens. C'est lui qui a éttoufé les affaires, protégés Maël, transféré de poste. Ne vous fiez pas à son sourire, il est dangereux, mais extrement gentil avec ceux qu'il aime. Rien à dire. Si ce n'est : ... Ne jouez pas avec lui. A si tout de même : il a divorcé de sept femmes (Oo'), est père de 3 enfants, et grand-père également. Il est actuellement dit "mort."

Mère d'adoption :Figure de la déchéance parentale Oo'?
"La beauté sans la grâce attire, mais elle ne sait pas retenir ; c'est un appât sans hameçon." Maxime Planude
Anne-Claire de la Rocincourt née quelques mois après Charles. Depuis son enfance, on lui dit que c'est son fiancé. Son précepteur, leurs parents, la ville même "Alors, comment va ton fiancé aujourd'hui, Anne ?", "Anne tu vas chez ton fiancé ?", "Anne a un amoureux !", "Anne, tu fais un gâteau pour ton fiancé !"
Charles est son fiancé !
Gâtée, elle est la dernière d'une famille de six enfants, deux sœurs, deux frères, et encore une sœur. Chouchoutée, elle fait des études sans savoir qu'elle travaille elle aimerait faire. Sa vie l'étouffe, le rêveur Charles qui ressemble un peu à une fille l'amuse. Elle s'entiche de lui, comme d'un caprice.
Jeune fille, elle sombre dans la drogue, et la paresse, la richesse n’étant pas toujours bonne. Capricieuse, et égocentrique, elle passe ses journées à ne rien faire et à sortir avec des hommes, plus âgé qu’elle. Ses parents sont morts depuis des années, et ses frères et sœurs (cinq au total) la couve car elle est la dernière, et qu’elle a moins connu leurs parents.
Quand Charles la quitte c’est le drame.
Elle a l’ingénieuse idée de se faire faire un enfant, et dire que c’est le sien.
10 Mois après leur séparation, elle accouche.
Charles ne veut pas le reconnaître, ce n’est pas son enfant ! Il ne peut pas le croire. Cela ne colle pas dans le temps. Juliette se met dans une colère noire, Charles qui ne supporte pas de la voir ainsi, accepte de reconnaître l’enfant de Anne-Claire.
Un an plus tard, elle mettra un second enfant au monde.
Anne-Claire ne s’occupe pas de ses enfants, elle les prend seulement lorsqu’elle se rend chez Charles et Juliette. Profitant de la maladie mentale de Juliette, Anne-Claire la provoque, cachant sous des mots de velours des épines féroces.

Après la mort de Juliette, elle est là pour soutenir Charles, et fait comme si Juliette n’avait jamais existé. C’est la raison, qui la pousse autant à haïr le gamin de son mari.
Au fil des années, la drogue, le mépris, la vie, feront d'elle une femme sans foi ni loi. Elle laisse Maël se faire violer, elle encourage même son fils à le faire. Elle finit par le violer elle-même. "Mon petit Jean-Louis" , pas étonnant que Maël veuille être appelé "Docteur" ou Christopher. Elle ne pense qu'à une chose, lui faire du mal. Le plus de mal possible.

Actuellement, elle ne cesse de poursuivre Maël pour tenter de le tuer. Si vous voyez une femme rousse, aux cheveux longs, douce, et agréable, rentrer et demander son fils ... Prière de la laisser à l'exterieur --'




Frères et sœurs :


Jean-Philippe Christopher Roobest des Nymphéa :
"Le seul moyen de se débarrasser d'une tentation, c'est d'y céder." de Oscar Wilde
de deux ans plus âgé que Maël, il est captivé par son petit "demi"-frère. Sous la coupe de Marc-Antoine pendant des années, il s'est fait violé dans son enfance par son frère a de nombreuses repprises. Il a toujours eut très peur, ne sachant pas parler, en parler, bloquer, pettrifier. Il a "violé?" une fois Maël ... Et depuis il est persuadé qu'il doit se punir et faire pénitence.
Devenu physicien, il n'a pas revus ses frères depuis 6 ans, mais Maël et lui se téléphonent régulièrement. Honteux de son enfance, ils ne parlent que de la pluie et du beau temps alors que Jean-Philippe voudrait lui demander pardon, encore et encore.
Jean-Philippe est un gentils garçon, qui demeure toujours le "papa" du jeu du "papa et la maman", il aurait voulu savoir protéger sa famille, comme un bon grand frère alors que c'était impossible, il sent coupable, stupide, idiot ... Incapable, et s'il ne se suicide pas, c'est juste pour pouvoir souffrir chaque jour.
Actuellement, il est amoureux d'une jeune femme : Ingrid, une jeune russe, mais il n'ose pas en parler à la jeune prostituée qui est au fait un homme. Lui-même se prostitue, et dort dans un placard alors qu'il vit dans un villa, et gagne assez d'argent pour vivre aisement. On dirait un gamin de 17 ans au font, qui ne sait pas quoi faire de sa vie. / 27 ans.



Marc-Antoine Philippe de la Rocincourt. Second frère.
" Il est encore plus facile de juger de l'esprit d'un homme par ses questions que par ses réponses. " par G. de Lévis
Fou. Anne-Claire la eut pendant une de ses crises de drogues avec un de ses frères, et ça se voit. Complètement aliéné, il n'arrivait à rien avec ses précepteurs, si ce n'est les boxés. En désespoir de cause on l'a envoyé dans une école privée avec son frère, puis en école public. Là-bas, il a rapidement fait sa loi.
Violent, dangereux, violeur, les rares fois où il verra Maël, il lui ferra du mal. A Maël et à d'autres. Hors le fait que ce soit un sociopathe compulsif, il a aussi comme obsession Maël. De l'amour à la haine, du meurtre au viol, sa vie tourne autour de Maël, et tout ce qui arrive est toujours de la faute de Maël.
Marc-Antoine explique, en partie, le choix d'étude de Maël.
A l'Age de 16 ans, il va dans un centre pour jeune délinquant, il en sortira six mois plus tard après avoir agressé et violé son camarade de chambre. Envoyé six mois en prison pour mineur, il en ressortira avec des relations.
A 20 ans, il va en prison, vol à main armé, séquestration, meurtre sans préméditation, viol, et autres petits délits.
Il se mari en Prison avec une femme peu recommandable de la prison voisine.
Il en est sortit à 25 ans, pour bonne conduite.
Il vit actuellement au château des Célestins avec sa mère et sa femme. / 26 ans.
Marc-Antoine est la peur irraisonné de Maël mais aussi, c'est le pire ennemi de Jean-Louis, car si Marc s'en prend toujours à Maël, s'il veut tant le détruire, c'est pour pouvoir brisser le grand frère, et le posseder.



Marie-Anne, Cristelle, Juliette Roobest des Nymphéas.
" Nous plaisons plus souvent dans le commerce de la vie par nos défauts que par nos qualités. de"La Rochefoucauld
La petite demi-sœur de Maël, et la seule liée par le sang. Liée par la douleur aussi, celle d'avoir eut des frères très violents. Amusante, espiègle, c'est une jeune fille joyeuse mais souffrant en silence, elle cultive des troubles psychologique en partie à cause des ses frères et de sa mère. Passionné pour la danse et la musique, elle aime le chant, et aimerait faire partie d'une troupe de théâtre, ou peut-être de cirque. C'est une petite fille gentille, ressemblant énormément à Charles.
Sa mère l'a fait interné dans un asile à lorsqu'elle avait 10 ans.
Elle en est ressortit à douze ans, placé sous la tutelle de Maël.
Actuellement, elle a 20 ans. Elle est suivit par une clinique psychiatre, et pourtant elle est artiste de cirque. Sa seule envie est d'aller à Berlin pour que son frère puisse la voir jouer. Elle garde toujours avec elle, la poupée qu'il lui a offert. Et elle est aimée par un riche jeune homme de 27 ans, ami de Maël, il est au petit soin pour elle. En vue de sa maladie, et de son jeune âge, il ne veut pas la brusquer. Et elle, en vue de sa maladie et de la richesse de l'homme, elle ne veut pas s'imposer. C'est un vrai amour ...
La jeune fille n'a jamais eut de "vraie" sevices. Maël a veiller sur elle, certe, mais Jean-Louis surtout à toujours été là, pour subir à sa place.




Fake ou vrai personnel ? vraie Oo'
Poste à l'hôpital : psychiatre, psychologue, psychanaliste
Profession exercée auparavant : psy, psy, et psy
Diplômes? Qualification? : formation universitaire de 5 ans, DEUG de psychologie, DESS,aster, maîtrise, ... exetera, exetera
Pathologie : Zut ! Alors ! Il en avait ^_^ Je l'ai dit quand même ? Bon, tant pis ^^
Sa position par rapport à la situation : A vrai dire ... Il vient d'arriver ^_^ et il est tellement dans sa bulle, qu'il verra, quand ça viendra --' mais il fait partit des Calyps ? Au fait, le jeune homme cherchait simplement un endroit pour ... jouer aux cartes et il est tombé sur une des réunions. Aimant bien la provocation, il a décidé d'en faire partie ^_^

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Histoire : (J'ai tenté de dissosié ce qu'un TRES bon journaliste (le meilleur) pouvait savoir, et ce que personne ne pouvait savoir.


Mars 1080 : Jean-Louis Christopher Maël Roobest des Nymphéas né à St Denis / France de Monsieur Charles André Léon Roobest, fils unique, et Juliette Roobest, ancienne Leblanc, fille unique.
Il est transféré à l'hôpital de Necker car prématuré. On observe chez lui un problème de santé respiratoire, qui se traduit par un problème de respiration lorsque l'enfant pleure.


- "Cet enfant, on l'attendait depuis longtemps. Avec amour, ion préparait son arrivé. On avait même emménagé chez l'ancienne femme sage qui avait mit au monde Charles, pour que l'enfant naisse au même endroit. C'était tout un symbole, depuis dix-huit générations, les mâles Roobest avaient toujours naquit dans cette maison. 5 Rue de la liberté, non loin de l'hôpital. Mais on ne s'attendait pas à ce qu'il vienne aussitôt. Je priais pour que ce soit pas un garçon.
Dans son berceau entouré de drap blanc, il ressemble réellement à un nénuphar blanc. Il est merveilleux mon enfant. J'aurais préféré une fille, je veux qu'il s'appelle Maël mais Charles veut qu'il porte le nom de son père et de son grand-père. J'accepte.
Maël est à l'hôpital, ils ont dit que je pouvais repartir chez moi. Chez moi ? Loin de Maël ? De mon enfant ? Je suis certaine que s'il avait été une fille, elle serait né plus tard, les hommes sont trop impatient. Cet enfant, c'est mon tresor, mon petit Mael, mon petit Mael"
Extrait du Carnet Intime de Juliette - gardé dans les affaires du Dr Roobest.

Septembre 1980 : Jean-Louis Christopher quitte l'hôpital de Necker. Il vit 6 rue des Oliviers, dans le village de Beauté. C'est la dernière maison de la rue. Juste en face de l'école. C'est l'établissement pour les enseignants. Juliette Leblanc est maîtresse de maternelle. Charles Instituteur de primaire. Il y a un autre professeur : Damien Laurent, âgé de 52 ans, ami d'un certain "Richard Love" il vit encore là et presente le couple comme "un joli petit nid d'amour".
Jean-Louis est atteint d'un grave problème respiratoire au niveau du cœur.
De septembre à Décembre, il ira 26 fois à l'hôpital.
Tout le village de beauté soutient le jeune couple, Damien Laurent fait venir son ami, Richard Love, activiste connu pour les tumultes qu'il engendre semble avoir connu la famille à cette période.

- "Il est malade. Je l'habille correctement, je le change, souvent. Je m'en occupe. Il est beau mon Maël, c'est un prince. Beauté est un beau village, il se trouve près de Fontainebleau, je vais passer mon permit de conduire, après je pourrais emmener Maël visiter la forêt qui se trouve là-bas et qui arrive jusqu'à chez nous. On dit que Merlin s'y promène, j'aime m'y promener. Richou m'accompagne, il est si gentil. Il vient de se marier, après son divorce, il m'aime bien. Il dit que je lui rappelle sa petite soeur, Richard semble malheureux, serait-il amoureux de mon mari ? Je pense que oui. Je ne lui dit rien, je sais qu'il ne nous ferra jamais de mal. Ni à moi, ni à mon enfant."
Extrait du Carnet Intime de Juliette. -

Janvier 1982 : Anne-Claire de la Rocincourt achète une maison secondaire dans le village de Beauté. Son fils Jean-philippe y est envoyé à l'école, gardé par une nurse : Julie Laurent, fille de Damien Laurent. Jean Philippe n'est pas l'enfant de Charles comme celui-ci le précise dans son testament, mais Charles l'a reconnu.
Suite à une crise de démence, Juliette Leblanc est conduite à l'hôpital des Roses Rouges.
Pendant que sa mère n'est pas là, Maël fait une crise respiratoire, son cœur s'emballe. Après analyse, il semblerait que l'enfant, sous des axées de colère, ne puisse pas respirer correctement : "il oublie de respirer !"

-- Juliette aime son mari. Juliette aime son enfant. Paranoïaque à cause de sa schizophrénie, elle étouffe les deux par peur de les voir disparaître. Elle passe son temps à déshabiller, à rhabiller, à changer Maël. Tous les jours, elle lui met une dizaine d'habits, la maison en est remplit. Elle ne travaille plus pour rester avec lui.
Lorsqu'elle voit Anne-Claire embrasser son mari en sortant de l'école, elle pique une colère furieuse.
S'en suit de violente dispute entre les deux femmes. Juliette sera interner une semaine, mais son mari la ferra sortir dès qu'il le pourra.
Juliette s'inquiète pour un oui, et pour un non. Elle a toujours peur qu'il arrive une catastrophe. Son petit Maël n'a pas froid ? Son petit Maël n'a pas trop chaud ? Son petit Maël a faim ? Son petit Maël s'ennui ? Le gamin devient gaté, pourri ... --


1983 : Dramatique accident, à Beauté, près de Paris. Une jeune femme qui traversait la route avec son bébé s'est fait fauché par un camion. Les circonstances de l'accident restent à déterminé, mais l'autorisation de rouler à 110 et l'absence d'éclairage et de feux de signalisation semble être la cause du drame. La femme est morte sur le coup, l'enfant est dans un état critique.

-- Un soir, où elle ne voit pas rentrer Charles d'une réunion d'école, elle s'inquiète. Et s'il était arrivé un accident sur cette satanée route qui traverse la ville ?
Elle sort dehors avec son enfant dans les bras, elle ne peut pas le laisser seul. La route est juste devant chez elle et elle ne voit rien. Pas un signe d'accident. Mais elle n'est pas pour autant rassuré : Et s'il l'avait quitté ? Elle traverse rapidement la route pour aller à l'école, un camion de marchandise qui passait à ce moment là, la renverse, elle et son enfant.
Le chauffeur du camion prévient la police, essaye d'aider. Il est trop tard, l'enfant n'a absolument rien, ... ou presque. --

Décembre 1983 à Février 1984 : Jean-Louis reste dans un coma, il ne se réveille que le neuf février. Son état de santé critique, oblige son père à déménager dans un endroit plus paisible, il se met en quête de cet endroit.

Mars 1984 : Après avoir déménagé une douzaine de fois, Charles devient l'associé de son père dans la Compagnie. Il décide de vivre dans le château familial, là où il a vécu son enfance, au Célestin.
En week-end d'octobre il se mari avec Anne-Claire.

-- Maël ne comprend pas. Il n'aime pas ce château, il n'aime pas cet endroit. Tout le monde l'appelle Jean-Louis alors que son nom c'est Maël ! Maman n'est pas là, et des gens se promènent partout. La dame crie tout le temps. Papa n'est pas là. Jean-Philippe est gentils. Jean. Pour Maël c'est Jean, et Jean appelle Maël, Maël.
Maël n'aime pas la dame. Il n'aime pas non plus Marc-Antoine. Il est méchant, il tape toujours Jean et lui. Il veut revoir maman ... Il est si fatigué ... --

1986 : A six ans, Jean-Louis est en CE2. Son QI est bien au-dessus de la moyenne, et son intelligence ce développe à vu d'œil. Son précepteur conseille de le faire entrer dans une école spécialisée.
Marc Antoine qui a redoublé son CP se fait traiter d'imbécile par ses camarades d'école, il finira par leur taper sur la figure, et comme par miracle les railleries stopperont.
Charles accepte une promotion en Amérique. Il ne rentre que pour Noël. Anne-Claire boit et se drogue.
Jean-Philippe est dans la même classe que Jean-Louis.
A la fin de l'année, Jean-Louis est nommé "meilleur élève de France"

-- Maël est très malheureux, papa ne serra pas là avant Noël mais il a promit une surprise s'il avait de bonnes notes à l'école, alors Maël veut bien travailler. La méchante maman veut l'obliger à dormir dans le grenier en haut, il a peur, il veut redescendre dans la chambre de Jean. Elle ne veut pas. Marc Antoine se cache derrière la grande armoire et quand quelqu'un passe, il le pousse dans les escaliers.
Il est fou. Il se fait mal tout seul, et après il dit que c'est Maël. Maël est triste, ses grands frères s'enferment seuls dans une chambre, et il doit rester toujours tout seul ... Jean sourit toujours, il dit à Maël que le grenier sera mieux, mais il accepte de le laisser dormir avec lui. Maël et lui se cachent souvent dans les placards pour dormir blottit l'un contre l'autre. --

1987 : suite à des coups et blessures, Maël est conduit à l'hôpital. Il commence à penser et à parler de lui en "il" selon un psychiatre de famille qui a aussitot dit que "ce n'est pas ce qu'il voulait dire".
Charles abrége un voyage d'affaire.
Anne-Claire se retrouve avec un œil au beurre noire.
Charles repart en voyage …

-- "On joue au papa et à la maman, dis oui, Jean s'il te plait ! Maël sera la maman, et Jean le papa"
Maël aillant enfiler une robe de soirée d'Anne Claire et portant son sac à main est assit par terre en train de bercer sa petite sœur Marie-Anne de six mois. "Fais dodo, colas ma Juliette, fais dodo t'aurais du lolo. Maman te chante une jolie chanson … papa est pas loin !"
"Sale Gosse !"
Anne-Claire est furieuse, elle attrape la gamin, le déshabille rapidement, hurle : c'est ces affaires, sale pédé, tu vas voir. Elle envoie valser le gamin contre un des coins du lit, la tête cogne, du sang tombe, les mains de la femme frappe le corps, elle s'assoit dessus, le frappe, l'insulte, encore et encore devant ses deux fils et quelques employés. Elle prend le sexe de l'enfant à pleine main, lui hurle qu'elle va le couper s'il remet des habits de fille. Le petit pleure, la femme rit, serrant plus fortement sa main ... Elle n'a pas eut sa dose.
L'un des employés intervient subitement. Il sera renvoyé plus tard et rentrera au service de Richard.

En apprenant l'état de son fils Charles arrive, il restera le temps de sa guérison. "Papa, Maël est désolé" En apprenant ce qu'il s'est passé par son fil, il frappe sa femme et lui promet de la frapper dix fois plus fort à chaque fois qu'elle porterait la main sur son enfant. Il le ferra. Il restera jusqu'à ce que Maël parle de nouveau de lui en je, mais l'enfant continue fréquemment de penser en "il" il ne pense pas "je suis en colère, mais il est en colère." et quand il commence à fatigué, il se remet à parler en il. Il ne dit pas : "Je vais aller me reposer mais Maël va aller se reposer." --

1988 : Pour son anniversaire, Charles offre des robes à son fils, ainsi que des habits de garçon. Selon une employé "l'enfant semblait pétrifié, mais ce n'était pas comparable à l'état de madame"

-- Il veut que son fils arrête de craindre ce genre de vêtement, lui-même a essayé d'en porter étant enfant, et c'était tout à fait normal. On veut toujours tout essayer Gamin. Maël ne veut pas les porter, il a peur. Il les porte en cachette, c'est son réconfort, elles ont encore l'odeur de Juliette dessus et de Charles, cette odeur de Jasmin. Pour lui faire plaisir, Jean les porte, ils jouent ensemble en riant stupidement. --

1993 : A 13 ans, Maël passe sa vie au lycée.
Une domestique se fait renvoyée. "Si vous voulez mon avis, j'ai été renvoyé après ma découverte du ptit là, le dernier de leur fils. Violé, c'est certain. Sa mère m'a dit que non, que l'enfant s'était enfermé dans un placard, tenez ! Et le balai, hein ? Et le balai ?"

-- Il est un excellent élément et la fierté de son père quand celui-ci rentre de voyage. Jean-Philippe, en troisième n'est pas vexé le moins du monde. Au contraire, il aide Maël dans ses devoirs et dans ses recherches. Maël fait tout pour passer du temps avec lui, ou avec sa petite sœur de huit ans.
Juliette, Jean et Maël. Ils se donnent ainsi ces prénoms, et vivent une petite vie calme, jouant encore au jeu du papa et à la maman de leur enfance. Ils ont changé les rôles, puisque Maël n'a pas le droit de s'habiller en fille, c'est Jean qui fait la maman …

Maël cultive une phobie irraisonné pour l'orage, elle ne s'améliora pas un soir où il attendra la fenêtre du second étage claquer. Terrorisé l'enfant y va pour la fermer. L'eau tombe, les cris se perdrent, Maël essaye de se débattre, frappant de toute ses forces Marc-Antoine. Marc-Antoine n'en a cure, il retourne Maël et sans précaution chercher à le pénétrer, il frappera longtemps Maël avant d'y arriver, pas facile quand l'enfant bouge. Marc prendra une chaise et la jeterra sur l'enfant qui tombera à demi-conscient. Le viol se fait plus facilement.
C'est une domestique qui trouvera l'enfant gisant dans un placard, maintenue fermé par un balai. Elle avertira sa maîtresse. Anne-Claire ira voir Maël, qui lui dira tout, se recroquevillant, sans oser sortir du placard.
Elle se rendra chez Marc-Antoine, qui lui dira que c'est Maël qui a voulu. Elle le croira, ou pas. C'est sans importance, Maël est coupable.
Elle lui dit. Elle dit que c'est de sa faute, parce qu'il s'habillait en fille, et que c'est bien fait pour lui. Qu'elle ne veut plus l'entendre, et que s'il le dit à quelqu'un, elle le mettra en prison. Mael est terrifié, il ne sort pas du placard c'est Jean qui viendra le tirer de force, le laver, lui dire que ce n'est rien.
Maël est terrifié, il sursaute dès qu'il voit Marc Antoine, ses notes se détériorent.
Son père rentre, Maël ne peut rien lui dire, son père se fâche après sa femme et la bat … --

1994 : aucune information précises

-- "Qu'est-ce tu fais ?"
Jean Philipe est furieux, Marc Antoine est encore en train de boire en cachette. Marc-Antoine rit, à moitié soul, il montre la cachette de drogue de leur mère, et en prend, en donne à son frère. Rapidement les deux jeunes sont drogués et soul. Maël arrive à cet instant, de mauvaise humeur, il a raté son examen de mathématique. Lorsqu'il voit Jean-Philippe avec la drogue, il sursaute. Il se fâche, et ne l'écoute pas. "Tu es fou, Anne-Claire sera furieuse !" Marc Antoine lui attrape le bras et lui tend la cigarette "fume". Maël refuse. Marc-Antoine lui murmure d'écarter les jambes s'il ne veut pas fumer. Le petit garçon habitué obéit. Marc Antoine fixe et viole Mael, devant Jean qui lui dit stop, qui le supplie de s'arretter. Mael ne fait rien. Jean-Philippe se retourne : "sers-toi ! Tu en meurs d'envie !". Jean Philipe viole Maël, comme Marc Antoine l'a violé, mais ... c'est doux, il n'ose pas, il ne veut pas. Il aime Maël mais ... il sent que c'est mal, il le fait en pleurant, et Mael le fixe sans comprendre.
Une fois l'affaire finit, Marc Antoine tend la cigarette. Fume. Maël obéit.


1995 : Roobest vit à l'université


-- depuis un an, Maël ne veut plus quitter la pension de l'université. Il a maintenant quinze ans, et il refuse de sortir et de parler. Il est malheureux mais ne veut pas le dire. Il a comprit : Jean ne l'a pas violé, il aurait du se battre, pourquoi les larmes ? Car il se laissait faire.
A l'université, ça se passe bien, sauf avec les camarades. Maël est plutôt populaire, son cul aussi d'ailleurs, il s'entend avec tout le monde, mais reste très froid, il entame des études de psychologie. Très bon élève, il absorbe tout ce qu'on lui dit, chaque cas, chaque définition, le concret ne lui fait pas peur.
Ses professeurs s'inquiètent, l'envoient chez un psy. Maël est diagnostiqué sans problème.
Le jeune homme devient distant avec le monde extérieur, il trouve un souffle de vie dans le théâtre, le cirque et le sport, où il peut jouer des rôles qui l'étouffent moins que sa vie. --

1996 : Retour de Mael chez ses parents

-- Un soir pourtant, Maël rentre chez lui. Car Jean-Philippe lui a promit que Marc-Antoine n'y serrait pas. Il va alors sur ses seize ans, et sort sans en être amoureux avec une des filles de son lycée. La maison est sinistre ….

Papa à l'air triste. Maman c'est encore drogué. Jean-Philippe a l'air encore plus triste. Qu'est-ce qui s'est passé ? Juliette est encore plus perdue qu'avant.

Jean-Philippe a avoué au psy de son école ce qui s'est passé, il veut aller en prison. Le psy veut voir Maël.
C'est un gentil vieux monsieur, pas le genre de psy que Maël avait déjà vu. Il explique que pour Jean-Philippe et Maël, il serait bien d'aller porter plainte, car cela allégerait la conscience de Jean, et la culpabilité qu'éprouve Maël. Car tu n'es pas coupable mon garçon.
Mais le garçon refuse, il ne veut pas voir ses frères en prison à cause de lui. Il explique clairement ses raisons, et retourne en pension, pourtant sa peine s'est allégée, il veut bien croire qu'il n'est pas tout à fait coupable. Jean lui fait promettre de ne pas faire de bêtise et de venir le voir en cas de problème. Mael a pensé ... que Jean devait faire plus de betises quie lui. C'est vrai.
Le lendemain, la belle mère de Maël est retrouvée à moitié battue sur le seuil du château. --


Deux mois plus tard, Maël apprendra le suicide de son père.


1997 : Mael ne semble plus avoir de vrai contact avec sa famille


-- Maël ne veut plus voir sa famille. Il n'en a plus, et se présente comme tel. Une grande partie de la fortune de son père lui revient, ainsi que l'argent de Juliette, il n'y touche pas, il n'en veut pas, il lui en veut de l'avoir laissé tout seul. Un soir en sortant de l'université, il verra Marc-Antoine.
Marc-Antoine le choppe, l'attrape, et le conduit dans un hôtel. Maël ne se débat pas, il suis, soupirant parfois, sans se poser de vraie question. Dans cet hôtel des femmes, violentées, violées, frappées, un réseau violent de prostitution. Les hommes rient, "C'est pas une femme Marc que tu nous emmènes, tu sais plus faire la différence !" Marc ricane et balance son frère sur les hommes "occupez-vous de lui !" --

1998 : Roobest vit en province


-- Maël a déménagé en Province. Il continue de suivre ses cours de psychologie, il a trouvé le cas de son frère. Sociopathe. Il voudrait l'aider. Il va chez lui, tremblant, voulant affronter ses peurs. Idiotement, il y va seul. Il n'aura pas le courage de rentrer. Heureusement.
Il renoue un contact avec son frère Jean, et ensemble ils vont voir leur sœur à la clinique. Maël y devient stagiaire, et il devient le tuteur de sa sœur suite à l'abandon de celle-ci par sa mère. Il la fait sortir de la clinique et stoppe les médicaments. Sa méthode basée sur la confiance est controversée, mais elle marche sur Juliette. Continuant ses études, il passe un second doctorat.
Il perfectionne son allemand, ainsi que son anglais. Apprend le néerlandais, et fait tout pour ne pas vivre.
Pas dénué de plaisir sexuel, il accumule les partenaires d'un soir. Etant attiré par les hommes, il se dit que c'est pour ça que son frère lui faisait du mal enfant. Il refuse de l'accepter. Il n'aime pas les homosexuels et il ne veut pas l'être ! Il finit par l'accepter ... Car il aime trop ça pour le nier. Il veut se donner une chance d'être heureux ...
Parfois trop brutal, son petit ami et lui s'entendent bien. --


1999 : Kidnapping dans la bourgade de Paris, un jeune homme est retrouvé à moitié mort. Il semblerait qu'il est été kidnappé par son frère, atteint de grands problèmes mentaux, un sociopathe. Une vingtaine de prostitués et de nombreux junkies ont été trouvé sur le lieu de la détention.

-- Alors qu'il sort de l'appartement de son frère Jean, Maël se fait kidnapper par Marc-Antoine. Les yeux bandés l'enfant vivra l'enfer, malmené, violé. Il sent la présence de sa belle mère, et finit par la voir lorsqu'on lui retire le bandeau. "Il a dit que pour chaque coup j'aurais dix coups, pour chaque coup qu'il m'a donné, je vais t'en donner cent !" Roobest est violé, encore et encore, torturé par des hommes qu'il en connait pas, par des femmes qu'il ne connait pas plus. Il s'enferme comme il peut dans le lieu où on le garde, mais ça ne sert à rien, on finit toujours par le faire sortir.
C'est grâce à la bêtise de Marc-Antoine qu'il est retrouvé, plus mort que vivant. --

2000 : Le procès.


-- Ne vivant que pour ses études, et son métier de stagiaire, Maël refuse toutes formes d'amitiés, quelconque. Le fait de savoir son frère en prison ne le rassure pas. Il travaille, encore et encore. Lorsqu'il est appelle pour le procès de son frère, il dit tout ce qui s'est passé, essaye en tout cas, tremblant de peurs dès qu'il croisse le regard de Marc-Antoine. Presque tout. Il ne parle pas de sa belle-mère. En sortant, il tombera, et il verra alors Jean, lui prendre la main, l'aider à se relever. "Je ... suis désolé." Maël s'assoit sur le parvis, pleure, n'en pouvant plus, malgré les cameras sur lui, malgré les larmes, l'avocat des victimes tentera de le protégé comme il pourra, mais comment faire ?
C'est Richard Love qui s'en occupera : question de relation. Il arrivera sans mal à confisqué toute les cameras, à payé les journalistes, à faire taire les rumeurs, et à faire éclater un plus grand scandale pour qu'on ne s'interesse plus à celui-ci : sa mort. Sa "présumée" mort.

2004 : Dr Jean-Louis exerce dans la clinique des Roses Rouges. Sa méthode de ne pas donner de médicaments, ou très peu est réellement controversé. Jean-Louis n'en a cure, il veut absolument aider du mieux qu'il peut sans abrutir et sans rendre les patients Junkie.

2005 : La vie de Jean-Louis à reprit un semblant de calme, il trouve un emploi à sa sœur pas trop loin de la clinique dans une troupe local. La troupe s'agrandie et marche plutôt bien, Jean-Louis en est heureux.

2006 : alors qu'il sort de chez lui, Jean-Louis tombe sur Marc-Antoine. "Pas plus de six mètres qu'il a dit …"
Jean-Louis demande son transfert immédiat n'importe où …
En Allemagne ?
Parfait !

Article "Docteur Maboul" publié dans Le mistral.
Daté du 10 Septembre.

"Le docteur Jean-Louis Roobest est un psychiatre généraliste qui a pratiqué pendant un an dans la clinique des Roses Rouges, sous la responsabilité du Docteur Forest. Jean-Louis Roobest a d'ailleurs été pendant plus de dix ans, le stagiaire, puis l'intermittent de ce médecin par discontinuité. Cependant la rencontre de ces deux hommes est gardée sous leurs secrets professionnel. Fervent adepte de la confiance entre patient et psychiatre, Jean-Louis suit sa lignée.
La clinique des Roses Rouges est spécialisée dans la prise en charge des troubles de la personnalité mineure et majeure mais la moitié des patients ont des pathologies qui ne nécessitent qu'un bref séjour de une à six mois.
Le docteur Jean-Louis Roobest a écrit notamment dans la revue scientifique "Professor" plusieurs articles à controverses sur la prise en charge des adolescents, et la nécessité d'augmenter le personnel médical tout en réduisant les médicaments.

De nouveau, l'homme à polémique soulève la critique, alors qu'il suivait une dizaine de patients à la clinique des Roses Rouges, il a demandé son transfert dans une autre clinique, se situant en Allemagne. Le jeune médecin prometteur a refusé d'en donner le nom. "J'ai en effet choisit d'être transférer en Allemagne. Mes patients sont au courant, et seront prit en charge par mon confrère et maître, le Dr Forest, ainsi que notre consoeur, le Dr Forest, la fille ! […]"
De nombreux psychiatres reprochent au docteur Roobest de quitter la France, "c'est tout de même nous qui l'avons instruit !" et de profiter d'une aubaine financière. Jean-Louis récuse les propos, "son salaire est identique" a déclaré le docteur Forest que nous avons interrogé.
Comme souvent, le docteur Roobest a tenu des propos, jugés trop directs : "L'avis de mes confrères ? Qu'est-ce que vous me racontez ! Je n'en ai rien à faire, seuls mes patients auraient le droit de me reprocher quelques choses, hors personne ne leur pose la question. Si vous voulez bien me laissez, ici on travaille !" […]
Comme les patients du docteur étaient hospitalisés, il nous a été impossible de leur poser des questions. Une des mères s'est déclaré "outré qu'on se mêle de la vie privée d'un médecin !"
Ce choix serait-il donc privé ?
Le choix d'une fiancée à l'étranger est avancé, ou peut-être simplement après avoir écrit les articles "psychiatre pas dealer", "Chaque homme est fou !" et d'autres (voir liste ci joint) le docteur préfère-t-il s'échapper ? […]"

2007 : ... Mael a décidé de revenir en France. Chez les roses rouges ? Hors de question ...
Alors ici ? Pourquoi pas



Autre :

^^

Le chat du docteur :

*A pas smiley impressionné *


Niahaaa, ca c'est de la fiche

Mais après avoir tout lu, je ne peux que dire Validé


En plus j'adore ton avatar [Et ton nom aussi ]


Edit : Encore rajouter des trucs? O___o Enfin si tu veux, oui, pas de soucis, je laisse ouvert ^____^

Tu as tout lu ? XD j'aurais pu te faire un résumé, hein ?

Merci

C'est mieux de tout lire

sinon ca sert à rien les fiches



*Vient de comprendre le "jeu de mots" sur la bannière

Elle est pas belle ma ban'


*pleure* ... El..El...Elle e..est p.pas be..belle m.ma bannière ? ...


*va pleurer dans les bras de son docteur*

Maiiis siii elle est belle ta baaan


*Part consoler Roobest*

C'est juste que j'ai mis du temps à comprendre *Esprit lent inside *

C'était....dur de comprendre

*qui a dit admins floodeurs ?*

Jolie fiche en effet


Edit de Seraph : Vouala, j'édite, comme ca je flood pas [Comment ca, le mal est déjà fait? ]

Bah oui, c'était dur à comprendre >.< Pas de ma faute si je suis fatiguée

Edit de Steb : ben dors au lieu de squatter alors

Edit de Seraph bis : C'est méchant de m'envoyer au lit