Nom : Vargas
Prénom : Dalian
Surnom : /
Age : 19 ans
Origines : Français
Orientation sexuelle: hum, asexué?
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Apparence physique : Dalian a un visage sans âge, il semble avoir arrêté de vieillir après ses 15 ans, ce qui bien sûr lui donne un air enfantin tout à fait adorable. Mais ne vous fiez pas trop aux apparences. Il est roux, enfin ses cheveux sont rouges -Merci petite soeur qui s'amuse à lui colorer les cheveux une fois par mois. Ils partent dans tous les sens à son plus grands désespoir et on peut dire qu'ils ont subit l'assaut d'explosifs plusieurs fois d'affilées. Cependant on notera tout de même qu'il arrive à les maîtrisé un tant soit peu en les rabattant d'un côté ou de l'autre (tout dépend de l'humeur, du temps, du petit-déjeuner, etc)
Ses yeux sont verts , sa peau très blanche presque fantomatique et aucune trace de tâches de rousseur, Dieu merci.
Il se cache un oeil (l'oeil droit) car il est persuadé d'être aveugle de cet oeil-là. Ca lui donne un petit côté mystérieux, dit-il. En fait il déteste cette particularité.
Ses lèvres sont très fines, surtout l'inférieure. Son nez est fin avec une tendance à se finir en trompette.
La taille fine, il est plutôt petit, mais étrangement, ses membres sont longilignes lui donnant un air -certes frêle- mais surtout nonchalant. En effet sa petite moue boudeuse et son sourcil presque toujours relevé lui offre un petit côté charmeur dont malheureusement il n'a aucunement conscience.
Il est donc plutôt séduisant, sin on aime le genre naïf/indolent/ahuri.
Style vestimentaire : Des couleurs sobres, il n'aime pas être remarqué. Il s'habille pourtant avec le style dit "branché" des jeunes de son age: baggys, t-shirt, etc.
Signe particulier : Une passion quasi maladive pour son I-pod, qu'il porte toujours sur lui
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Caractère : Dalian est un névrosé de type obssessionel, il est donc sujet à de grandes crises dépréssives puis euphoriques. Il est souvent pris de crises de colère dûes à une auto-culpabilité. Il a tendance a se reprocher tout ce qui ne se passe pas bien. Lors de ses crises, Dalian doit s'isoler pour mieux s'auto mutiler, sorte de décharge à sa culpabilité. Autre fait de sa pathologie, il subit ce qu'on appelle la "bonté sadique": il donne/fait plaisir en voulant détruire en même temps ce qu'il fait. Il a egalement un excellent contrôle de ses affects et malgré sa culpabilité maladive, trouvera toujours un fautif pour ses sautes d'humeurs.
Il ne supporte pas la saleté et se pose sans cesse des questions l'entraînant très souvent dans des combats intérieurs interminables dans lesquels il finit toujours par se blesser pour ses "mauvaises pensées".
Etant quelqu'un d'instable et le sachant pertinemment, il s'est renfermé sur lui-même. Pourtant son caractère "normal" est loin d'être timide et introverti...En effet, il est têtu, de mauvaise foi, cynique, pas généreux pour un sous, susceptible, irrascible. Bref un enfant de choeur n'est-ce pas? Outre cette quantité de défaut, il est plutôt doux. Très réfléchit, il ne supporte pas de "foncer dans le tas". Enfin il n'est pas bien bavard mais il aime écouter les gens aprler, ça le repose. Parfois il s'autorise à répondre, quand il sait quoi dire et quand cela en vaut la peine (a quoi bon répondre à quelqu'un qui ne l'intérésses pas, voyons!) Son comportement très paradoxal le trouble lui-même et ajoute à sa culpabilité déjà surdimensionnée.
Aime : les gens, la tendresse, la musique, la lecture, la propreté, ses clopes
Aime pas : lui-même, les gens, la nourriture sucrée, l'indifférence, la violence (et pourtant il le devient si souvent...), son père
Talents : aucun? il sait jouer du piano mais prétend être une nullité
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Famille : Un père mort d'une crise cardiaque il y a deux ans, une mère dépressive et une petite soeur (Aya) toute à fait équilibrée.
Amis : aucun.
Amours : Néant
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Raison de sa venue ici : sa mère n'arrivait plus à gérer sa névrose.
Depuis combien de temps est-il ici ? 3 jours.
Sa position par rapport à la situation : Il n'en sait rien, il est perud, il a peur, il se cache.
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Histoire : Les parents Vargas étaient très heureux à la naissance de leur fils et le furent doublement deux ans après, à la naissance de leur fille. Ils formaient à eux quatre une petite famille tendre et aimante, jouant de modèle pour les autres. Alicia Vargas était un bon professeur d'anglais et Marc Vargas grimpait lentement mais sûrement les marches de l'échelle sociale pour devenir cadre supérieur dans une grande entreprise de multimédia. Quant à leurs enfants: Dalian était un très bon élève, sa soeur un peu moins. mais comme disait leur mère "il fallait de tout pour faire un monde".
Ah la maman de Dalian! Comme il l'aimait à cette époque. Qu'elle était douce! Elle était sa déesse, un être céleste venu du ciel juste pour lui. Toujours à soné coute, toujours à lui prodiguer d'affectueuses caresses. A lui lire de shistoires le soir, lui acheter un bonbon parce qu'il s'était fait mal. Un femme merveilleuse!
Quant à son père...Dalian avait toujours ressenti une sorte d'ambivalence pour lui: il l'aimait et le respectait profondemment et pourtant..Pourtant il le craignait et le haïssait. Oh oui il le détestait d'avoir des droits sur sa mère que lui n'avait pas! Combien de fois Dalian n'avait-il pas souhaité la mort de son géniteur pour enfin garder sa mère. Rien que pour lui.
Mais, le rêve de Dalian ne se réalisa pas comme il le souhaitait. Oh bien sûr il avait grandit et avait réussit ses études à merveille. Il venait d'avoir son Bac, avait des amis très intéréssant et sa petite famille tournait toujours aussi bien. En apparence.
Lui, il détestait toujours son père...Ce dernier devait d'ailleurs ressentir cette haine sous jacente car à présent il ne lui accordait plus autant de confiance: Il le surveillait, s'arrangeait toujours pour ne pas être seul dans la même pièce que lui. Bref, leur relation s'étiolait.
Dalian rêvait souvent qu'il tuait son père. Toujours d'une façon différente mais ce n'était pas ce qui importait. Non ce qui importait réllement c'est qu'à chaque fois, sa mère le félicitait et ils vivaient,s euls, tous les deux, heureux.
Jamais il ne s'était imaginé que ses rêves tourneraient au cauchemard.
Un jour, après une violente dispute entre les deux époux -a propos d'une dépense inconsidérée de sa mère-, son père succomba d'une crise cardiaque. Personne ne s'en serait douté, la santé de son géniteur étant plus que parfaite.
Cette perte entraîna un grand desespoir dans la famille à présent bancale des Vargas. Alicia était maintenant dépressive, survivant comme elle le pouvait à la douleur de perdre un être cher. Mais comment faire vivre des gens quand on arrive à peine à vivre soi-même? Bientôt la mère de Dalian ne pû plus rien faire autrement que d'ingurgiter ses anti-dépresseur.
Dalian qui voyait sa mère comme un fantôme, à cause de lui, parce que c'était à cause de lui que son père était mort, ne pû garder que peu de temps un semblant de raison.
A partir de ce moment là tout s'accélera, la violence, la colère, l'isolement répété, le besoin de propreté partout, la culpabilité. Il s'amusait a crier sur tous les toits qu'il était la cause de la mort de son père. Il faillit même se crever un oeil devant sa soeur. Heureusement pour lui, elle réussit à le stoper à temps. mais depuis, ce jour, Dalian est persuader de n'avoir qu'un seul oeil encore capable de voir.
C'est cet évènement qui poussa sa mère à l'envoyer voir des psychologues. Tous décrétèrent le même diagnostic: névrose obsessionelle. La douce Alicia, bien que réticente à l'idée de se séparer de sa chère progéniture, dû se rendre à l'évidence. Elle pourrait jamais gérer son fils.
Elle le plaça donc ici, dans cette institution, sans savoir dans quoi elle entraînait le jeune homme.
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